C'est comme ça, à Ouaga.... J'ai attendu jusqu'à fatiguer

Par : Isabelle Jourdan
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  • Nombre de pages206
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.245 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-336-00589-8
  • EAN9782336005898
  • Date de parution01/01/2013
  • CollectionEcrire l'Afrique
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Dans ces tableaux vivants et pleins d'humour de la vie quotidienne à Ouagadougou, poulets grésillants, cinéma en plein air, motos supportant de plantureuses créatures, vélos, voitures, charrettes, accrochent le regard. C'est la face visible. Mais cet actif brouhaha, s'il fait partie intégrante de la vie ouagalaise, masque aussi des amours clandestines, de vieilles femmes bannies, des superstitions, des compromissions, des chiens faméliques, des familles aux sollicitations "kilométriques" et des relations sans états d'âme.
Tout ceci sur fond du beau français d'Afrique humoristique et percutant, prompt à la formule : "température cageot, célibatorium, manger son piment dans ma bouche s sans oublier l'extraordinaire a gentil comme poulet rôti". Nul désir de juger mais une observation amusée ou intriguée, attentive à l'insolite du quotidien que l'habitude finit parfois par estomper. Bien loin de l'imagerie traditionnelle des guides touristiques ou des clichés misérabilistes sur l'Afrique sub-saharienne, c'est, sans condescendance mais sans angélisme non plus, la peinture des scènes cocasses, poétiques ou pathétiques qui rythment les rues.
Dans ces tableaux vivants et pleins d'humour de la vie quotidienne à Ouagadougou, poulets grésillants, cinéma en plein air, motos supportant de plantureuses créatures, vélos, voitures, charrettes, accrochent le regard. C'est la face visible. Mais cet actif brouhaha, s'il fait partie intégrante de la vie ouagalaise, masque aussi des amours clandestines, de vieilles femmes bannies, des superstitions, des compromissions, des chiens faméliques, des familles aux sollicitations "kilométriques" et des relations sans états d'âme.
Tout ceci sur fond du beau français d'Afrique humoristique et percutant, prompt à la formule : "température cageot, célibatorium, manger son piment dans ma bouche s sans oublier l'extraordinaire a gentil comme poulet rôti". Nul désir de juger mais une observation amusée ou intriguée, attentive à l'insolite du quotidien que l'habitude finit parfois par estomper. Bien loin de l'imagerie traditionnelle des guides touristiques ou des clichés misérabilistes sur l'Afrique sub-saharienne, c'est, sans condescendance mais sans angélisme non plus, la peinture des scènes cocasses, poétiques ou pathétiques qui rythment les rues.
C'est comme ça, à Ouaga...
Isabelle Jourdan
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