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- Nombre de pages300
- PrésentationBroché
- Poids0.382 kg
- Dimensions14,7 cm × 22,0 cm × 2,1 cm
- ISBN979-10-209-0291-7
- EAN9791020902917
- Date de parution07/10/2015
- ÉditeurLiens qui libèrent (Les)
- TraducteurFrançoise Chemla
Résumé
"Toute réforme pour réduire l'ingérence de l'Etat aura pour effet ultime d'accroître le nombre de réglementations et le volume total de paperasse". Après le succès de Dette : 5000 ans d'histoire, David Graeber revient avec un texte passionnant et à rebours des idées reçues sur l'emprise de la bureaucratie dans nos sociétés contemporaines. Comment en sommes-nous arrivés, dans une société dite libérale, à passer une grande partie de notre temps à remplir de plus en plus de formulaires ? Et à quel point nos vies sont-elles gâchées par toute cette paperasserie sans fin ? Pour répondre à ces questions, l'auteur s'intéresse à l'histoire de notre rapport singulier à la bureaucratie et révèle comment elle façonne nos vies à tel point que nous n'en avons même plus conscience.
L'inanité de cette paperasse est-elle symptomatique de la violence étatique ? Ou ne serait-elle pas plutôt un instrument du capitalisme, financier notamment, qui exercerait son contrôle à travers elle pour asseoir son pouvoir. Sur la technologie, Graeber développe également l'idée que le capitalisme néolibéral a freiné délibérément la technologie, et l'a détournée de ce qu'il appelle les "technologies poétiques" (créatrices) au profit des "technologies bureaucratiques" (de surveillance, de discipline, du travail et de tâches administratives) : les impératifs administratifs sont donc devenus non les moyens, mais la fin du développement technologique.
Un livre essentiel pour comprendre notre temps. Bureaucratie sera à n'en pas douter au coeur du débat sur les institutions qui régissent nos vies et du monde meilleur et plus libre que nous devrions peut-être commencer à imaginer.
L'inanité de cette paperasse est-elle symptomatique de la violence étatique ? Ou ne serait-elle pas plutôt un instrument du capitalisme, financier notamment, qui exercerait son contrôle à travers elle pour asseoir son pouvoir. Sur la technologie, Graeber développe également l'idée que le capitalisme néolibéral a freiné délibérément la technologie, et l'a détournée de ce qu'il appelle les "technologies poétiques" (créatrices) au profit des "technologies bureaucratiques" (de surveillance, de discipline, du travail et de tâches administratives) : les impératifs administratifs sont donc devenus non les moyens, mais la fin du développement technologique.
Un livre essentiel pour comprendre notre temps. Bureaucratie sera à n'en pas douter au coeur du débat sur les institutions qui régissent nos vies et du monde meilleur et plus libre que nous devrions peut-être commencer à imaginer.
"Toute réforme pour réduire l'ingérence de l'Etat aura pour effet ultime d'accroître le nombre de réglementations et le volume total de paperasse". Après le succès de Dette : 5000 ans d'histoire, David Graeber revient avec un texte passionnant et à rebours des idées reçues sur l'emprise de la bureaucratie dans nos sociétés contemporaines. Comment en sommes-nous arrivés, dans une société dite libérale, à passer une grande partie de notre temps à remplir de plus en plus de formulaires ? Et à quel point nos vies sont-elles gâchées par toute cette paperasserie sans fin ? Pour répondre à ces questions, l'auteur s'intéresse à l'histoire de notre rapport singulier à la bureaucratie et révèle comment elle façonne nos vies à tel point que nous n'en avons même plus conscience.
L'inanité de cette paperasse est-elle symptomatique de la violence étatique ? Ou ne serait-elle pas plutôt un instrument du capitalisme, financier notamment, qui exercerait son contrôle à travers elle pour asseoir son pouvoir. Sur la technologie, Graeber développe également l'idée que le capitalisme néolibéral a freiné délibérément la technologie, et l'a détournée de ce qu'il appelle les "technologies poétiques" (créatrices) au profit des "technologies bureaucratiques" (de surveillance, de discipline, du travail et de tâches administratives) : les impératifs administratifs sont donc devenus non les moyens, mais la fin du développement technologique.
Un livre essentiel pour comprendre notre temps. Bureaucratie sera à n'en pas douter au coeur du débat sur les institutions qui régissent nos vies et du monde meilleur et plus libre que nous devrions peut-être commencer à imaginer.
L'inanité de cette paperasse est-elle symptomatique de la violence étatique ? Ou ne serait-elle pas plutôt un instrument du capitalisme, financier notamment, qui exercerait son contrôle à travers elle pour asseoir son pouvoir. Sur la technologie, Graeber développe également l'idée que le capitalisme néolibéral a freiné délibérément la technologie, et l'a détournée de ce qu'il appelle les "technologies poétiques" (créatrices) au profit des "technologies bureaucratiques" (de surveillance, de discipline, du travail et de tâches administratives) : les impératifs administratifs sont donc devenus non les moyens, mais la fin du développement technologique.
Un livre essentiel pour comprendre notre temps. Bureaucratie sera à n'en pas douter au coeur du débat sur les institutions qui régissent nos vies et du monde meilleur et plus libre que nous devrions peut-être commencer à imaginer.
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