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Automne 1948. Il débarque un soir de grand vent à la pension Giboulée. Par erreur. Un stupéfiant malentendu linguistique. Il est à New York et on l'a pris pour une demoiselle à cause de son prénom. Or la pension Giboulée est exclusivement réservée aux jeunes filles. La gent masculine y est rigoureusement interdite. Par chance, il est français. Et il joue très bien du piano... Voici l'histoire de l'étudiant Jocelyn Brouillard, 17 ans presque, à l'ère du swing et de la comédie musicale, propulsé dans un tourbillon où les jeunes Américaines sont plus turbulentes, éblouissantes, hardies et étourdissantes les unes que les autres.
Eblouissant.
Ce livre est un cadeau.
Cadeau merveilleusement construit, écrit, documenté.
Le roman abouti d'un grand auteur, qui se dévore avec passion, et où le destin des personnages qui se croisent, se perdent, s'entremêlent devient un peu le nôtre.
Le plaisir évident qu'a pris Malika Ferdjoukh à l'écriture de cette pépite est palpable, et nous procure une lecture jubilatoire.
New-York, années 50' : Les pensionnaires de la pension Giboulée, (ainsi que quelques grandes figures américaines de l'après guerre), deviennent nos amis durant ces 583 pages pleines de péripéties, d'humour ravageur, de swing irrépressible, et de pures émotions.
Je n'aurai qu'une recommandation à vous faire, LISEZ CE LIVRE...
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