Brèves nouvelles du 9.3 et d'ailleurs. Récits et nouvelles

Par : Jean-Pierre Gualezzi

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  • Nombre de pages165
  • PrésentationBroché
  • Poids0.215 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-343-02982-5
  • EAN9782343029825
  • Date de parution01/03/2014
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Il y a cinquante ans naissait la Seine-Saint-Denis, plus communément désignée sous son numéro : " 9.3 " ou " 9 cube ". Deux mondes s'y côtoient. L'un contribue à en faire un département dynamique, plein de potentialités, avec de vastes domaines d'excellence. L'autre est celui du chômage de masse, de la " relégation urbaine ", de la violence et de la délinquance. Se nourrissant de faits divers vécus et datés, dont la critique sociale et politique n'est jamais absente, l'auteur s'attache à brosser sur le mode du " néo-polar " le tableau de la face sombre de son département.
Il prend le parti de forcer le trait et de noircir le dénouement des histoires racontées, tout en affirmant haut et fort que ce qu'il décrit n'est en aucune façon un enfer absolu. Il cherche simplement à présenter quelques situations révélatrices d'une dégradation certaine. Elles demeurent exceptionnelles et ne constituent heureusement pas encore le quotidien de ses concitoyens séquano-dyonisiens.
L'auteur entend pratiquer là une sorte d'exorcisme, dont il attend un effet libératoire et une mobilisation des politiques.
Il y a cinquante ans naissait la Seine-Saint-Denis, plus communément désignée sous son numéro : " 9.3 " ou " 9 cube ". Deux mondes s'y côtoient. L'un contribue à en faire un département dynamique, plein de potentialités, avec de vastes domaines d'excellence. L'autre est celui du chômage de masse, de la " relégation urbaine ", de la violence et de la délinquance. Se nourrissant de faits divers vécus et datés, dont la critique sociale et politique n'est jamais absente, l'auteur s'attache à brosser sur le mode du " néo-polar " le tableau de la face sombre de son département.
Il prend le parti de forcer le trait et de noircir le dénouement des histoires racontées, tout en affirmant haut et fort que ce qu'il décrit n'est en aucune façon un enfer absolu. Il cherche simplement à présenter quelques situations révélatrices d'une dégradation certaine. Elles demeurent exceptionnelles et ne constituent heureusement pas encore le quotidien de ses concitoyens séquano-dyonisiens.
L'auteur entend pratiquer là une sorte d'exorcisme, dont il attend un effet libératoire et une mobilisation des politiques.