Brésil, terre d'amitié

Par : Georges Bernanos
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  • Nombre de pages237
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.145 kg
  • Dimensions11,0 cm × 18,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-7103-3115-5
  • EAN9782710331155
  • Date de parution25/05/2009
  • CollectionLa petite Vermillon
  • ÉditeurTable Ronde (La)

Résumé

En 1938, désespéré par les compromissions de l'Église et par la lâcheté des démocraties, Georges Bernanos quitte l'Europe avec sa femme et ses six enfants pour recréer une «nouvelle France» en Amérique latine. Au Brésil, l'écrivain passe sept longues années en exil, à Rio de Janeiro, Itaipava, Juiz de Fora, Vassouras, Pirapora et Barbacena. Contrairement à Stefan Zweig, venu lui rendre visite dans sa ferme quelques jours avant son suicide, le romancier français n'a pas laissé de livre pour célébrer ce pays qu'il a tant aimé.
Tourefois, au fil des pages consacrées à cette terre d'espérance et d'amitié dans Lettre aux Anglais, Les Enfants humiliés, Le Chemin de la Croix-des-Âmes, sa correspondance trop peu connue et quelques articles publiés après son retour en France, on découvre que Bernanos s'est fait du Brésil une image toute à lui, au cour des soubresauts de la Seconde Guerre mondiale. Et l'on comprend que c'est un homme profondément changé qui a dit adieu au Cristo Redemptor du Corcovado, le 2 juin 1945.
En 1938, désespéré par les compromissions de l'Église et par la lâcheté des démocraties, Georges Bernanos quitte l'Europe avec sa femme et ses six enfants pour recréer une «nouvelle France» en Amérique latine. Au Brésil, l'écrivain passe sept longues années en exil, à Rio de Janeiro, Itaipava, Juiz de Fora, Vassouras, Pirapora et Barbacena. Contrairement à Stefan Zweig, venu lui rendre visite dans sa ferme quelques jours avant son suicide, le romancier français n'a pas laissé de livre pour célébrer ce pays qu'il a tant aimé.
Tourefois, au fil des pages consacrées à cette terre d'espérance et d'amitié dans Lettre aux Anglais, Les Enfants humiliés, Le Chemin de la Croix-des-Âmes, sa correspondance trop peu connue et quelques articles publiés après son retour en France, on découvre que Bernanos s'est fait du Brésil une image toute à lui, au cour des soubresauts de la Seconde Guerre mondiale. Et l'on comprend que c'est un homme profondément changé qui a dit adieu au Cristo Redemptor du Corcovado, le 2 juin 1945.
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