Bouleversements
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- Nombre de pages72
- PrésentationBroché
- Poids0.1 kg
- Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 0,4 cm
- ISBN978-2-87406-470-8
- EAN9782874064708
- Date de parution01/10/2010
- ÉditeurArbre à paroles (L')
Résumé
Dès l'ouverture de son livre, l'auteur prévient son lecteur en citant en exergue la poétesse espagnole Chantal Maillard : " De nos jours, ne semblerait trouver de place une poésie autre que celle qui dit la faim. Et la terreur; La désolation et l'étrangeté. Qui les disent afin que nous nous retrouvions." Celle suite de poésies de Sala-Valldaura intitulée Bouleversements est d'une seule tonalité. Mais celle-ci se métamorphose dans un prisme de la langue de telle manière que les motifs se complexifient, que les correspondances et les superpositions s'affirment selon des perspectives infinies afin de mieux embrasser le réel. Elle se donne comme une conscience mise à nu puisque désemparéefcrce à un monde qui nous laisse non seulement .sans 'Orge minais tout autant étranger à soi-même. Dès lors, où accueillir le inonde à l'intérieur de soi ? L'auteur cherche à prive entendre les intempéries du temps et de l'espace habités, inhabitables, torde matière dont l'énigme reste entière. Et pourtant, cette poésie résiste, même farouchement, à toute perte de sens et de soi. Elle dit son refus en s'attachant aux lignes de fracture au coeur de la vie, non pour apaiser mais bien pour engager plus de lucidité s'il est possible encore.
Dès l'ouverture de son livre, l'auteur prévient son lecteur en citant en exergue la poétesse espagnole Chantal Maillard : " De nos jours, ne semblerait trouver de place une poésie autre que celle qui dit la faim. Et la terreur; La désolation et l'étrangeté. Qui les disent afin que nous nous retrouvions." Celle suite de poésies de Sala-Valldaura intitulée Bouleversements est d'une seule tonalité. Mais celle-ci se métamorphose dans un prisme de la langue de telle manière que les motifs se complexifient, que les correspondances et les superpositions s'affirment selon des perspectives infinies afin de mieux embrasser le réel. Elle se donne comme une conscience mise à nu puisque désemparéefcrce à un monde qui nous laisse non seulement .sans 'Orge minais tout autant étranger à soi-même. Dès lors, où accueillir le inonde à l'intérieur de soi ? L'auteur cherche à prive entendre les intempéries du temps et de l'espace habités, inhabitables, torde matière dont l'énigme reste entière. Et pourtant, cette poésie résiste, même farouchement, à toute perte de sens et de soi. Elle dit son refus en s'attachant aux lignes de fracture au coeur de la vie, non pour apaiser mais bien pour engager plus de lucidité s'il est possible encore.