Bouffées d'ostalgie. Fragments d'un continent disparu
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- Nombre de pages138
- PrésentationBroché
- Poids0.225 kg
- Dimensions15,0 cm × 23,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-88250-445-6
- EAN9782882504456
- Date de parution19/01/2017
- ÉditeurNoir Sur Blanc (Les Editions)
Résumé
Dans les années 1976-1977, alors qu'il est corres- pondant à Paris pour le quotidien de Montréal La Presse, Louis-Bernard Robitaille se rend à plusieurs reprises en Europe de l'Est. Ses voyages sont le point de départ des quatre textes de cet ouvrage, consacrés à Berlin-Est, à Prague, à Varsovie et à Moscou et Tbilissi. L'atmosphère particulière qui régnait au-delà du rideau de fer inspire à l'écrivain de nombreuses questions, nourries par ses rencontres et une fine observation des villes et de ses habitants.
Sans se prendre trop au sérieux, Robitaille cherche à comprendre la vie quotidienne « outre-mur » et à décrypter les tentatives de ses interlocuteurs pour se dégager de la chape de plomb du Parti. En homme de gauche éloigné de toute chapelle, Robitaille déclare que le communisme a été pour lui, en tant que journaliste, la grande affaire politique de son époque. Fasciné par cette « créature bizarre » qui a aménagé une immense prison à ciel ouvert dans le bloc soviétique, il se pose la question de sa rapide disparition : alors que l'on avait cru le monument communiste indestructible, comment se fait-il qu'il se soit évanoui si rapidement ?
Sans se prendre trop au sérieux, Robitaille cherche à comprendre la vie quotidienne « outre-mur » et à décrypter les tentatives de ses interlocuteurs pour se dégager de la chape de plomb du Parti. En homme de gauche éloigné de toute chapelle, Robitaille déclare que le communisme a été pour lui, en tant que journaliste, la grande affaire politique de son époque. Fasciné par cette « créature bizarre » qui a aménagé une immense prison à ciel ouvert dans le bloc soviétique, il se pose la question de sa rapide disparition : alors que l'on avait cru le monument communiste indestructible, comment se fait-il qu'il se soit évanoui si rapidement ?
Dans les années 1976-1977, alors qu'il est corres- pondant à Paris pour le quotidien de Montréal La Presse, Louis-Bernard Robitaille se rend à plusieurs reprises en Europe de l'Est. Ses voyages sont le point de départ des quatre textes de cet ouvrage, consacrés à Berlin-Est, à Prague, à Varsovie et à Moscou et Tbilissi. L'atmosphère particulière qui régnait au-delà du rideau de fer inspire à l'écrivain de nombreuses questions, nourries par ses rencontres et une fine observation des villes et de ses habitants.
Sans se prendre trop au sérieux, Robitaille cherche à comprendre la vie quotidienne « outre-mur » et à décrypter les tentatives de ses interlocuteurs pour se dégager de la chape de plomb du Parti. En homme de gauche éloigné de toute chapelle, Robitaille déclare que le communisme a été pour lui, en tant que journaliste, la grande affaire politique de son époque. Fasciné par cette « créature bizarre » qui a aménagé une immense prison à ciel ouvert dans le bloc soviétique, il se pose la question de sa rapide disparition : alors que l'on avait cru le monument communiste indestructible, comment se fait-il qu'il se soit évanoui si rapidement ?
Sans se prendre trop au sérieux, Robitaille cherche à comprendre la vie quotidienne « outre-mur » et à décrypter les tentatives de ses interlocuteurs pour se dégager de la chape de plomb du Parti. En homme de gauche éloigné de toute chapelle, Robitaille déclare que le communisme a été pour lui, en tant que journaliste, la grande affaire politique de son époque. Fasciné par cette « créature bizarre » qui a aménagé une immense prison à ciel ouvert dans le bloc soviétique, il se pose la question de sa rapide disparition : alors que l'on avait cru le monument communiste indestructible, comment se fait-il qu'il se soit évanoui si rapidement ?