Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Florence, 7 février 1497. Le Carnaval bat son plein. Sur la place de la Seigneurie, frère Jérôme Savonarole, le virulent réformateur de la cité,...
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Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
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Résumé
Florence, 7 février 1497. Le Carnaval bat son plein. Sur la place de la Seigneurie, frère Jérôme Savonarole, le virulent réformateur de la cité, fait dresser un bûcher où sont brûlées des " vanités " cédées de gré ou de force par les Florentins. Disparaissent ainsi, dans les flammes, bijoux et parures, cartes à jouer, livres libertins, mais aussi oeuvres d'art jugées " païennes ". Comment Sandro Botticelli, l'auteur du Printemps et de la Naissance de Vénus, a-t-il vécu un tel spectacle ? A-t-il été impressionné par les invectives du dominicain contre le dévoiement de l'art ? Va-t-il tourner le dos à la Renaissance, lui qui a célébré, par ses pinceaux, la magnificence de Laurent et brillamment mis en image la culture humaniste promue par les Médicis ? Le livre se présente comme une enquête : sans parti pris, l'auteur accumule les preuves, les témoignages ; il recherche des indices dans les tableaux de Botticelli eux-mêmes ; il donne la parole à Savonarole, le prêcheur de l'Apocalypse, mais aussi aux poètes et aux philosophes de cette Florence qui se prenait pour une Nouvelle Athènes. Le résultat est passionnant : on découvre deux personnalités d'exception, plus complexes qu'il n'y paraît ; on entre de plain-pied dans une époque brillante et novatrice, mais bien vite ébranlée dans ses certitudes et déchirée par ses propres contradictions. Les existences croisées de Savonarole et de Botticelli témoignent pleinement de la Renaissance arrivée à son apogée et déjà en crise.