Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Dernière étape de l'exploration de l'épistolaire dans le monde lusophone, les articles réunis dans cette " Boîte aux Lettres " interrogent échanges...
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Résumé
Dernière étape de l'exploration de l'épistolaire dans le monde lusophone, les articles réunis dans cette " Boîte aux Lettres " interrogent échanges authentiques, lettres-chroniques, témoignages, confessions ou documents. Pour le Portugal, les études portent sur l'évolution de la correspondance privée, du XVe au XVIIIe siècle, où la marque du hiéronymite Frei Heitor Pinto s'impose ; sur la lettre-document, journal de voyage informatif et didactique, envoyée d'Éthiopie en 1603 par le Père jésuite Pêro Pais ; sur les missives de la marquise d'Alorna révélatrices de son apprentissage intellectuel au siècle des Lumières ; sur les échanges entre les poètes Fernando Pessoa et Sâ-Carneiro éclairant une hétéronymie naissante ; les lettres poèmes ou exercices spirituels que Sophia de Mello Breyner Andresen adresse à des amis morts ; la communication dans le roman épistolaire d'Almeida Faria. Pour le Brésil, les travaux concernent les " lettres-causeries " de la presse du XIVe siècle, l'épistolaire didactique du roman de Julia Lopes de Almeida, la missive en tant qu'objet scénique dans la dramaturgie de Coelho Neto, les échanges entre Monteiro Lobato et une jeune inconnue, révélateurs dune écriture littéraire ou entre Mario de Andrade et Luis da Câmara Cascudo, révélateurs de la construction de la brésilianité ; enfin la correspondance " confession " entre Samuel Rawet et Renard Perez. On se rend compte que l'épistolaire, moyen de communication privilégié, est d'une richesse inépuisable.