Blowup : une seconde vue. Essai sur la complexité filmique
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- Nombre de pages534
- PrésentationBroché
- Poids0.84 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 2,6 cm
- ISBN978-2-296-56840-2
- EAN9782296568402
- Date de parution01/03/2012
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Plus de cinquante ans après sa sortie, Blowup reste un film
dont l'audience et le pouvoir de fascination l'emportent sur les
autres chefs-d'oeuvre d'Antonioni (L'Avventura, L'Eclipse, La
None...). Ce film culte n'est-il pas le témoin décalé et ironique
de son temps et le pourvoyeur d'interrogations éternelles sur le
regard, la réalité, l'art, les relations entre les êtres, le besoin
des objets ? Pour autant, l'hagiographie d'Antonioni aura
généralement négligé l'extraordinaire réflexion plastique et la
créativité visuelle qui font également de Blowup le lieu d'une
"cinéplasticité" totalement maîtrisée et où l'image filmique ne
cesse de s'entretenir avec l'histoire du cinéma, les champs de
la philosophie et ceux des arts plastiques.
Ce livre propose donc une relecture inédite de ce film par une ana-lyse approfondie de son déroulement narratif en rapport avec ses agencements visuels et sonores. Séquence après séquence. Cette approche permettra de rendre sensible le spectateur, le cinéphile comme le spectateur ordinaire, à la pluralité de formes et de sens qui fondent l'essence artistique de Blowup. Relayant l'analyse filmique, de nombreuses références viendront éclairer le propos d'Antonioni : oeuvres cinématographiques (Ford, Ozu, Misogushi, Bresson, Fassbinder, Godard, Hawks, Hitchcock, Ophuls, Sirk, Tati...) ou oeuvres plastiques (Cari André, Alberto Buri, Peter Campus, Le Caravage, Jan Dibbets, Marcel Duchamp, Piero della Francesca, Rembrandt, de Chirico, Mario Sironi...).
Blowup ressort ici comme un film où le dédale des fausses incohérences et la construction des images et du son incarnent une oeuvre unique en son genre, mais vouée peut-être à n'être jamais totalement élucidée. Loin d'en épuiser l'intrigue, cette étude n'en reste pas moins fidèle à la démarche d'Antonioni qui est d'engager son public à un exercice et une éducation du regard.
Ce livre propose donc une relecture inédite de ce film par une ana-lyse approfondie de son déroulement narratif en rapport avec ses agencements visuels et sonores. Séquence après séquence. Cette approche permettra de rendre sensible le spectateur, le cinéphile comme le spectateur ordinaire, à la pluralité de formes et de sens qui fondent l'essence artistique de Blowup. Relayant l'analyse filmique, de nombreuses références viendront éclairer le propos d'Antonioni : oeuvres cinématographiques (Ford, Ozu, Misogushi, Bresson, Fassbinder, Godard, Hawks, Hitchcock, Ophuls, Sirk, Tati...) ou oeuvres plastiques (Cari André, Alberto Buri, Peter Campus, Le Caravage, Jan Dibbets, Marcel Duchamp, Piero della Francesca, Rembrandt, de Chirico, Mario Sironi...).
Blowup ressort ici comme un film où le dédale des fausses incohérences et la construction des images et du son incarnent une oeuvre unique en son genre, mais vouée peut-être à n'être jamais totalement élucidée. Loin d'en épuiser l'intrigue, cette étude n'en reste pas moins fidèle à la démarche d'Antonioni qui est d'engager son public à un exercice et une éducation du regard.
Plus de cinquante ans après sa sortie, Blowup reste un film
dont l'audience et le pouvoir de fascination l'emportent sur les
autres chefs-d'oeuvre d'Antonioni (L'Avventura, L'Eclipse, La
None...). Ce film culte n'est-il pas le témoin décalé et ironique
de son temps et le pourvoyeur d'interrogations éternelles sur le
regard, la réalité, l'art, les relations entre les êtres, le besoin
des objets ? Pour autant, l'hagiographie d'Antonioni aura
généralement négligé l'extraordinaire réflexion plastique et la
créativité visuelle qui font également de Blowup le lieu d'une
"cinéplasticité" totalement maîtrisée et où l'image filmique ne
cesse de s'entretenir avec l'histoire du cinéma, les champs de
la philosophie et ceux des arts plastiques.
Ce livre propose donc une relecture inédite de ce film par une ana-lyse approfondie de son déroulement narratif en rapport avec ses agencements visuels et sonores. Séquence après séquence. Cette approche permettra de rendre sensible le spectateur, le cinéphile comme le spectateur ordinaire, à la pluralité de formes et de sens qui fondent l'essence artistique de Blowup. Relayant l'analyse filmique, de nombreuses références viendront éclairer le propos d'Antonioni : oeuvres cinématographiques (Ford, Ozu, Misogushi, Bresson, Fassbinder, Godard, Hawks, Hitchcock, Ophuls, Sirk, Tati...) ou oeuvres plastiques (Cari André, Alberto Buri, Peter Campus, Le Caravage, Jan Dibbets, Marcel Duchamp, Piero della Francesca, Rembrandt, de Chirico, Mario Sironi...).
Blowup ressort ici comme un film où le dédale des fausses incohérences et la construction des images et du son incarnent une oeuvre unique en son genre, mais vouée peut-être à n'être jamais totalement élucidée. Loin d'en épuiser l'intrigue, cette étude n'en reste pas moins fidèle à la démarche d'Antonioni qui est d'engager son public à un exercice et une éducation du regard.
Ce livre propose donc une relecture inédite de ce film par une ana-lyse approfondie de son déroulement narratif en rapport avec ses agencements visuels et sonores. Séquence après séquence. Cette approche permettra de rendre sensible le spectateur, le cinéphile comme le spectateur ordinaire, à la pluralité de formes et de sens qui fondent l'essence artistique de Blowup. Relayant l'analyse filmique, de nombreuses références viendront éclairer le propos d'Antonioni : oeuvres cinématographiques (Ford, Ozu, Misogushi, Bresson, Fassbinder, Godard, Hawks, Hitchcock, Ophuls, Sirk, Tati...) ou oeuvres plastiques (Cari André, Alberto Buri, Peter Campus, Le Caravage, Jan Dibbets, Marcel Duchamp, Piero della Francesca, Rembrandt, de Chirico, Mario Sironi...).
Blowup ressort ici comme un film où le dédale des fausses incohérences et la construction des images et du son incarnent une oeuvre unique en son genre, mais vouée peut-être à n'être jamais totalement élucidée. Loin d'en épuiser l'intrigue, cette étude n'en reste pas moins fidèle à la démarche d'Antonioni qui est d'engager son public à un exercice et une éducation du regard.