Né à La Chaux-de-Fonds (Suisse) le 1er septembre 1887, Blaise Cendrars, de son vrai nom Frédéric Louis Sauser parcourt le monde avant de s'installer à Paris. Mobilisé, il est grièvement blessé pendant l'offensive de Champagne. Reprenant sa vie errante, il se passionne pour le cinéma. Il continue à publier régulièrement jusqu'à sa mort à Paris le 21 janvier 1961.
Blaise Cendrars - Robert Guiette, Lettres 1920-1959. "Ne m'appelez plus... maître"
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- Nombre de pages190
- PrésentationBroché
- Poids0.27 kg
- Dimensions14,1 cm × 21,0 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-88182-893-5
- EAN9782881828935
- Date de parution28/03/2013
- CollectionCendrars en toutes lettres
- ÉditeurEditions Zoé
- AnnotateurMichèle Touret
Résumé
C'est en 1920 que le jeune universitaire anversois Robert Guiette (1895-1976), passionné de littérature, écrit à Blaise Cendrars (1887-1961) avant de le rencontrer à Paris l'année suivante. Dès lors, leur amitié transfrontalière favorise de nombreux échanges entre les milieux littéraires parisiens et bruxellois. Mais surtout, elle engage une correspondance très intense où Cendrars, poète d'avant-garde, puis écrivain célèbre, journaliste et mémorialiste, se confie volontiers et donne son avis sans concession.
Cet ensemble inédit des lettres de Blaise Cendrars permet de saisir l'effervescence créatrice, éditoriale et intellectuelle à laquelle les deux écrivains ont largement participé, particulièrement durant les années 20 et 30. Et grâce au Journal de Guiette, ainsi qu'à ses comptes rendus des publications de Cendrars que nous proposons dans ce volume, les voix des deux amis se croisent constamment en échos et résonances, traces d'un respect mutuel qui dépasse largement la relation du maître à l'élève.
Cet ensemble inédit des lettres de Blaise Cendrars permet de saisir l'effervescence créatrice, éditoriale et intellectuelle à laquelle les deux écrivains ont largement participé, particulièrement durant les années 20 et 30. Et grâce au Journal de Guiette, ainsi qu'à ses comptes rendus des publications de Cendrars que nous proposons dans ce volume, les voix des deux amis se croisent constamment en échos et résonances, traces d'un respect mutuel qui dépasse largement la relation du maître à l'élève.
C'est en 1920 que le jeune universitaire anversois Robert Guiette (1895-1976), passionné de littérature, écrit à Blaise Cendrars (1887-1961) avant de le rencontrer à Paris l'année suivante. Dès lors, leur amitié transfrontalière favorise de nombreux échanges entre les milieux littéraires parisiens et bruxellois. Mais surtout, elle engage une correspondance très intense où Cendrars, poète d'avant-garde, puis écrivain célèbre, journaliste et mémorialiste, se confie volontiers et donne son avis sans concession.
Cet ensemble inédit des lettres de Blaise Cendrars permet de saisir l'effervescence créatrice, éditoriale et intellectuelle à laquelle les deux écrivains ont largement participé, particulièrement durant les années 20 et 30. Et grâce au Journal de Guiette, ainsi qu'à ses comptes rendus des publications de Cendrars que nous proposons dans ce volume, les voix des deux amis se croisent constamment en échos et résonances, traces d'un respect mutuel qui dépasse largement la relation du maître à l'élève.
Cet ensemble inédit des lettres de Blaise Cendrars permet de saisir l'effervescence créatrice, éditoriale et intellectuelle à laquelle les deux écrivains ont largement participé, particulièrement durant les années 20 et 30. Et grâce au Journal de Guiette, ainsi qu'à ses comptes rendus des publications de Cendrars que nous proposons dans ce volume, les voix des deux amis se croisent constamment en échos et résonances, traces d'un respect mutuel qui dépasse largement la relation du maître à l'élève.