Biens publics, biens du roi. Les bases économiques des pouvoirs royaux dans le haut Moyen Age

Par : Vito Loré, François Bougard
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  • Nombre de pages512
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.905 kg
  • Dimensions15,6 cm × 23,4 cm × 3,3 cm
  • ISBN978-2-503-58645-8
  • EAN9782503586458
  • Date de parution29/10/2019
  • CollectionSeminari Storia e Archeologia
  • ÉditeurBrepols
  • AuteurRégine Le Jan
  • AuteurCharles West

Résumé

Les sociétés politiques du haut Moyen Age sont caractérisées par une forte centralité royale, que l'historiographie a étudiée sous de multiples aspects comme les rituels et les formes de communication, la parenté et les alliances entre groupes aristocratiques, la compétition pour le trône ou la faveur du souverain etc. Le présent volume replace l'attention sur les fondements économiques des pouvoirs des rois, ducs et princes en une période où l'imposition directe d'origine tardoantique s'est étiolée au profit de la rente.
Que s'est-il passé entre l'épuisement de l'impôt foncier direct aux VIe-VIIe siècles et la diffusion à large échelle des pouvoirs seigneuriaux, aux XIe-XIIe siècles ? De quelles ressources foncières disposait le roi et quels étaient ses rapports avec l'exercice du pouvoir au niveau central et local ? Quels étaient les modes de redistribution de la terre publique, de quelle manière était-elle gérée ? Quelles obligations et quels impôts formaient la base économique des pouvoirs du souverain ? Historiens et archéologues s'efforcent de répondre à ces questions pour la plupart des régions de l'Europe occidentale.
Les sociétés politiques du haut Moyen Age sont caractérisées par une forte centralité royale, que l'historiographie a étudiée sous de multiples aspects comme les rituels et les formes de communication, la parenté et les alliances entre groupes aristocratiques, la compétition pour le trône ou la faveur du souverain etc. Le présent volume replace l'attention sur les fondements économiques des pouvoirs des rois, ducs et princes en une période où l'imposition directe d'origine tardoantique s'est étiolée au profit de la rente.
Que s'est-il passé entre l'épuisement de l'impôt foncier direct aux VIe-VIIe siècles et la diffusion à large échelle des pouvoirs seigneuriaux, aux XIe-XIIe siècles ? De quelles ressources foncières disposait le roi et quels étaient ses rapports avec l'exercice du pouvoir au niveau central et local ? Quels étaient les modes de redistribution de la terre publique, de quelle manière était-elle gérée ? Quelles obligations et quels impôts formaient la base économique des pouvoirs du souverain ? Historiens et archéologues s'efforcent de répondre à ces questions pour la plupart des régions de l'Europe occidentale.