Bertrand Barère. Le médiateur de la Révolution
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- Nombre de pages174
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.18 kg
- Dimensions12,0 cm × 18,0 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-36666-060-9
- EAN9782366660609
- Date de parution24/04/2015
- Collection100 figures de Gascogne
- ÉditeurGascogne (Editions)
Résumé
Bertrand Barère, député de la Plaine, c'est-à-dire du centre, joue un rôle fondamental au sein de la Convention. Rapporteur habituel du Comité de salut public, ses discours et ses carmagnoles contribuent puissamment à la production d'un roman national au milieu de tempêtes politiques. Convaincu que la République ne peut se fonder que sur l'alliance avec le peuple, souvent réduit aux sans-culottes parisiens, il reste profondément attaché au respect de la représentation nationale, c'est-à-dire à l'intégrité de la Convention.
Il est ainsi plongé au coeur des contradictions de la Révolution. Forgé par la philosophie des Lumières, avocat défenseur des plus faibles, d'abord favorable à la monarchie constitutionnelle, il devient le porte parole du Comité de salut public et soutient à ce titre les mesures d'exception qui aboutissent à la politique dite de la Terreur tout en demeurant attaché à l'utopie d'une fusion unitaire de tous les républicains.
Son portrait fut construit d'abord par ses adversaires. Ils en firent un terroriste doublé d'une girouette politique inconsistante. Au-delà de tout présupposé, cet ouvrage, à travers les faits, se propose d'éclairer son parcours car, s'il demeure à la lumière de 1789 à 1794, il connut aussi jusqu'à sa mort à Tarbes en 1841, de multiples vicissitudes.
Il est ainsi plongé au coeur des contradictions de la Révolution. Forgé par la philosophie des Lumières, avocat défenseur des plus faibles, d'abord favorable à la monarchie constitutionnelle, il devient le porte parole du Comité de salut public et soutient à ce titre les mesures d'exception qui aboutissent à la politique dite de la Terreur tout en demeurant attaché à l'utopie d'une fusion unitaire de tous les républicains.
Son portrait fut construit d'abord par ses adversaires. Ils en firent un terroriste doublé d'une girouette politique inconsistante. Au-delà de tout présupposé, cet ouvrage, à travers les faits, se propose d'éclairer son parcours car, s'il demeure à la lumière de 1789 à 1794, il connut aussi jusqu'à sa mort à Tarbes en 1841, de multiples vicissitudes.
Bertrand Barère, député de la Plaine, c'est-à-dire du centre, joue un rôle fondamental au sein de la Convention. Rapporteur habituel du Comité de salut public, ses discours et ses carmagnoles contribuent puissamment à la production d'un roman national au milieu de tempêtes politiques. Convaincu que la République ne peut se fonder que sur l'alliance avec le peuple, souvent réduit aux sans-culottes parisiens, il reste profondément attaché au respect de la représentation nationale, c'est-à-dire à l'intégrité de la Convention.
Il est ainsi plongé au coeur des contradictions de la Révolution. Forgé par la philosophie des Lumières, avocat défenseur des plus faibles, d'abord favorable à la monarchie constitutionnelle, il devient le porte parole du Comité de salut public et soutient à ce titre les mesures d'exception qui aboutissent à la politique dite de la Terreur tout en demeurant attaché à l'utopie d'une fusion unitaire de tous les républicains.
Son portrait fut construit d'abord par ses adversaires. Ils en firent un terroriste doublé d'une girouette politique inconsistante. Au-delà de tout présupposé, cet ouvrage, à travers les faits, se propose d'éclairer son parcours car, s'il demeure à la lumière de 1789 à 1794, il connut aussi jusqu'à sa mort à Tarbes en 1841, de multiples vicissitudes.
Il est ainsi plongé au coeur des contradictions de la Révolution. Forgé par la philosophie des Lumières, avocat défenseur des plus faibles, d'abord favorable à la monarchie constitutionnelle, il devient le porte parole du Comité de salut public et soutient à ce titre les mesures d'exception qui aboutissent à la politique dite de la Terreur tout en demeurant attaché à l'utopie d'une fusion unitaire de tous les républicains.
Son portrait fut construit d'abord par ses adversaires. Ils en firent un terroriste doublé d'une girouette politique inconsistante. Au-delà de tout présupposé, cet ouvrage, à travers les faits, se propose d'éclairer son parcours car, s'il demeure à la lumière de 1789 à 1794, il connut aussi jusqu'à sa mort à Tarbes en 1841, de multiples vicissitudes.