Une fois n'est pas coutume, le nouveau roman d'Olivier Norek n'est pas un polar mais un roman historique dont le sujet est un événement peu connu de la Seconde Guerre Mondiale, l'invasion de la Finlande par l'Union soviétique.
Il s'intéresse notamment à un jeune paysan, Simo, qui va devenir le sniper le plus dangereux de l'armée finlandaise, à tel point que les soldats russes le surnommeront la « Mort blanche ».
Basé sur une solide documentation, Les guerriers de l'hiver est la nouvelle pépite de l'excellent Olivier Norek.
Une catastrophe a fait s'effondrer une mine. Reclus au fond, protégé in extremis par un wagonnet renversé, une berline, Fernand se remémore sa vie...
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Livré chez vous entre le 18 février et le 20 février
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Résumé
Une catastrophe a fait s'effondrer une mine. Reclus au fond, protégé in extremis par un wagonnet renversé, une berline, Fernand se remémore sa vie à mesure qu'il approche d'une mort presque certaine. Crépuscule des années 1960, quelque part dans un pays de fer et de charbon. Une catastrophe a fait s'effondrer la mine. Reclus au fond, protégé in extremis par un wagonnet renversé, une berline, Fernand se remémore sa vie à mesure qu'il approche d'une mort presque certaine. Bloc par bloc, les souvenirs, les visages familiers refont surface : la mère qui n'a pas su l'aimer, le père, mineur lui aussi, qui lui a transmis son amour des jardins, l'oncle et la tante, la bonne gueule de Mario, son copain de toujours. Sans oublier Martha, son unique amour. Prisonnier des ténèbres, Fernand retraverse ainsi son enfance et son histoire, avec pour seul compagnon un drôle d'oiseau. Mais cette nuit abominable ne résistera pas à la force d'une certaine lumière, ni à l'espoir d'une renaissance. Tout en scrutant l'enfermement physique et les carcans intimes, Berline est une évocation sensible, ainsi que réaliste et poétique, de la vie des mineurs de l'Est de la France, pour beaucoup venus de l'immigration italienne. Vibrant sans jamais être misérabiliste, écrit avec une simplicité qui pourrait être l'autre nom de la pudeur, ce premier roman d'une grande justesse parvient à extraire de sa noirceur de nombreuses pépites de lumière, de tendresse et d'humour.
Née en 1973, Céline Righi, petite-fille de mineurs, réside entre Strasbourg et sa maison en bois des Vosges. Professeur de Lettres modernes, elle quitte l'Education nationale en 2018 pour se consacrer entièrement à ses activités d'écriture. Chanteuse et parolière, elle prête sa plume à de nombreux artistes. Elle anime des ateliers d'écriture destinés aux enfants, aux adultes et aux personnes âgées, et intervient également auprès des détenus de la Maison d'arrêt de Strasbourg. En septembre 2021, elle remporte à l'unanimité le Grand Prix du Jury du concours " Lire pour en sortir ", parrainé par Leïla Slimani.