Mais un allié inattendu va faire basculer l'équilibre des forces. La retraite pourrait se transformer en victoire. En dépit des ordres, esseulée, sous-équipée, mais toujours invaincue, la Twilight Company observe et prépare sa manoeuvre la plus téméraire : un assaut visant le coeur de la machine militaire impériale.","offers":{"@type":"Offer","priceCurrency":"EUR","price":10.7,"url":"/livres/battlefront-9782266284912.html","availability":"https://schema.org/InStock"},"datePublished":"2018-06-28","isbn":"978-2-266-28491-2","publisher":{"@type":"Organization","name":"Pocket"},"author":{"@type":"Person","name":"Alexander Freed","url":"/auteur/1614248/alexander+freed"},"aggregateRating":{"@type":"AggregateRating","ratingValue":"4","ratingCount":"1"},"review":[{"@type":"Review","author":{"@type":"Person","name":"Francis P. - 1"},"reviewRating":{"@type":"Rating","ratingValue":"4"},"reviewBody":"Alors voilà qu’Alexander Freed (novélisation de Rogue One) nous livre une belle brique de 500 pages associée à un jeu vidéo de tir multijoueur. Simple publicité du jeu ou épopée valable ?\r\n\r\nDéjà un mot sur la couverture : magnifique. Bon encore un petit détail marketing pas fidèle au récit, mais tout de même, ça fait plaisir aux yeux.\r\nEnsuite une histoire de soldats d’infanterie, du point de vue de simples exécutants. Donc pas de vision globale ici, pas d’enjeu d’ampleur galactique, pas de Force (ou pratiquement). Juste la guerre avec tout ce qu’elle a de plus sale, en quelques batailles. Même quand on croit qu’on se dirige vers du gros, même du très gros, eh bien non, comme dans les vrais guerres, les plans ambitieux dérapent et nos bons soldats doivent tenter de survivre. (Inspiration de la bataille de Gallipoli ici ?)\r\nAinsi pas de héros vedettes des films, mais de vrais héros ordinaires, qui s’acharnent contre l’Empire, sans force magique pour venir les sauver.\r\nQui dit roman de guerre dit personnages nombreux, et donc moins développés que dans un récit centré autour d’un seul. Néanmoins plusieurs d’entre eux sont très intéressants et mériteraient de revenir dans d’autres histoires. Et enfin, logique pour une fois : une défection impériale qui n’est pas accueillie chaleureusement par les troupes, loin de là.\r\nSont très nombreuses également les références à d’autres récits, toujours agréable pour les fans. Quelques caméos également présents ici et là, et la classique bataille de Hoth revisitée du point de vue des pauvres types qui se gelaient le cul dans les tranchées glacées de l’Épisode IV.\r\nQuant à l’association avec le jeu, c’est mission accomplie. Les armes, les concepts, les tactiques. Ça donne envie d’y (re)jouer. Particulièrement à la bataille de Sullust, quand même de plus grande envergure dans le roman que dans le jeu.\r\n\r\nGalactiquement épique ? Non (parfait à mon goût, c’est selon)\r\nEssentiel à la compréhension du Canon ? Non\r\nOriginal ? Oui\r\nDivertissant ? Oui\r\n\r\nBref, une lecture agréable, intéressante, bien écrite, et qui n’est pas qu’une simple adaptation d’un jeu vidéo."}]}
La Guerre Civile Galactique fait rage. Les légions de Stormtroopers impériaux sont chargées d'écraser la Résistance. Au sein du front de l'Alliance Rebelle, les combattants sont des hommes, des femmes, des non-humains, réunis sous l'étendard du 61e escadron d'infanterie, la Twilight Company. Braves, endurcis…
La Guerre Civile Galactique fait rage. Les légions de Stormtroopers impériaux sont chargées d'écraser la Résistance. Au sein du front de l'Alliance Rebelle, les combattants sont des hommes, des femmes, des non-humains, réunis sous l'étendard du 61e escadron d'infanterie, la Twilight Company. Braves, endurcis par la guerre et férocement loyaux, les membres de ce groupe de renégats grincent des dents quand l'ordre est donné de se replier face aux troupes plus nombreuses et mieux armées de l'Empire. Mais un allié inattendu va faire basculer l'équilibre des forces. La retraite pourrait se transformer en victoire. En dépit des ordres, esseulée, sous-équipée, mais toujours invaincue, la Twilight Company observe et prépare sa manoeuvre la plus téméraire : un assaut visant le coeur de la machine militaire impériale.
Avis des lecteursCommentaires laissés par nos lecteurs
Alors voilà qu’Alexander Freed (novélisation de Rogue One) nous livre une belle brique de 500 pages associée à un jeu vidéo de tir multijoueur. Simple publicité du jeu ou épopée valable ?
Déjà un mot sur la couverture : magnifique. Bon encore un petit détail marketing pas fidèle au récit, mais tout de même, ça fait plaisir aux yeux.
Ensuite une histoire de soldats d’infanterie, du point de vue de simples exécutants. Donc pas de vision globale ici, pas d’enjeu d’ampleur galactique, pas de Force (ou pratiquement). Juste la guerre avec tout ce qu’elle a de plus sale, en quelques batailles. Même quand on croit qu’on…
Alors voilà qu’Alexander Freed (novélisation de Rogue One) nous livre une belle brique de 500 pages associée à un jeu vidéo de tir multijoueur. Simple publicité du jeu ou épopée valable ?
Déjà un mot sur la couverture : magnifique. Bon encore un petit détail marketing pas fidèle au récit, mais tout de même, ça fait plaisir aux yeux.
Ensuite une histoire de soldats d’infanterie, du point de vue de simples exécutants. Donc pas de vision globale ici, pas d’enjeu d’ampleur galactique, pas de Force (ou pratiquement). Juste la guerre avec tout ce qu’elle a de plus sale, en quelques batailles. Même quand on croit qu’on se dirige vers du gros, même du très gros, eh bien non, comme dans les vrais guerres, les plans ambitieux dérapent et nos bons soldats doivent tenter de survivre. (Inspiration de la bataille de Gallipoli ici ?)
Ainsi pas de héros vedettes des films, mais de vrais héros ordinaires, qui s’acharnent contre l’Empire, sans force magique pour venir les sauver.
Qui dit roman de guerre dit personnages nombreux, et donc moins développés que dans un récit centré autour d’un seul. Néanmoins plusieurs d’entre eux sont très intéressants et mériteraient de revenir dans d’autres histoires. Et enfin, logique pour une fois : une défection impériale qui n’est pas accueillie chaleureusement par les troupes, loin de là.
Sont très nombreuses également les références à d’autres récits, toujours agréable pour les fans. Quelques caméos également présents ici et là, et la classique bataille de Hoth revisitée du point de vue des pauvres types qui se gelaient le cul dans les tranchées glacées de l’Épisode IV.
Quant à l’association avec le jeu, c’est mission accomplie. Les armes, les concepts, les tactiques. Ça donne envie d’y (re)jouer. Particulièrement à la bataille de Sullust, quand même de plus grande envergure dans le roman que dans le jeu.
Galactiquement épique ? Non (parfait à mon goût, c’est selon)
Essentiel à la compréhension du Canon ? Non
Original ? Oui
Divertissant ? Oui
Bref, une lecture agréable, intéressante, bien écrite, et qui n’est pas qu’une simple adaptation d’un jeu vidéo.
La Guerre Civile Galactique fait rage. Les légions de Stormtroopers impériaux sont chargées d'écraser la Résistance. Au sein du front de l'Alliance Rebelle, les combattants sont des hommes, des femmes, des non-humains, réunis sous l'étendard du 61e escadron d'infanterie, la Twilight Company. Braves, endurcis…
Alors voilà qu’Alexander Freed (novélisation de Rogue One) nous livre une belle brique de 500 pages associée à un jeu vidéo de tir multijoueur. Simple publicité du jeu ou épopée valable ?
Déjà un mot sur la couverture : magnifique. Bon encore un petit détail marketing pas fidèle au récit, mais tout de même, ça fait plaisir aux yeux.
Ensuite une histoire de soldats d’infanterie, du point de vue de simples exécutants. Donc pas de vision globale ici, pas d’enjeu d’ampleur galactique, pas de Force (ou pratiquement). Juste la guerre avec tout ce qu’elle a de plus sale, en quelques batailles. Même quand on croit qu’on…