Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La Balance des discours(Lunheng) est un recueil d'essais du penseur des Han orientaux, Wang Chong (27-100 ?). Le but de l'auteur était de mettre sur...
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Livré chez vous entre le 25 septembre et le 28 septembre
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Résumé
La Balance des discours(Lunheng) est un recueil d'essais du penseur des Han orientaux, Wang Chong (27-100 ?). Le but de l'auteur était de mettre sur la balance les opinions et les moeurs de son temps pour inciter les hommes à plus de sagesse et de bon sens. Avec Wang Chong, on pénètre au coeur de la mentalité des lettrés des Han, de leurs habitudes et des mouvements d'idées qui les agitaient. Ses connaissances encyclopédiques, son sens de l'observation et son goût de l'exemple concret font aussi de l'ouvrage un réservoir inépuisable d'informations sur la culture et la société chinoises anciennes. Les vingt-cinq traités traduits dans la présente anthologie sont organisés autour de trois thèmes, destin, providence et divination, qui forment un ensemble cohérent. Il est difficile en effet d'aborder la question du destin chez Wang Chong sans empiéter sur le terrain de la providence, ni de parler des présages indépendamment de sa conception de l'action du Ciel dans le monde, de même que ses vues sur la divination et la magie ne peuvent se comprendre sans faire appel à sa théorie du destin. La mise à l'index de la Balance des discours au XIIe siècle par les lettrés des Song sous la double accusation d'un manque de révérence à l'égard de Confucius et d'une complaisance affichée pour le taoïsme en a fait un écrit souvent qualifié de marginal. Redécouvert au XXe siècle, Wang Chong passe dès lors pour le champion d'un rationalisme critique à la chinoise. Par-delà les excès de l'ère maoïste où il est érigé en parangon du matérialiste anti-confucéen, sa défiance à l'égard des idéologies, son pessimisme teinté d'ironie, sa philosophie vitaliste enfin et son rejet de toute intelligence divine : tout cela confère à ses écrits un pouvoir décapant qui les rend attractifs et finalement proches de nous.