Ba-Twa. Les "Pygmées" potiers du Rwanda d'après les sources missionnaires et coloniales (1892-1962)

Par : Stefan Seitz

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  • Nombre de pages252
  • PrésentationBroché
  • Poids0.342 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN978-2-84960-316-1
  • EAN9782849603161
  • Date de parution27/04/2012
  • ÉditeurDo Bentzinger (Jérôme)
  • TraducteurPierre Erny

Résumé

En 1970, le professeur Stefan Seitz, de l'Université de Fribourg-en-Brisgau, ethnologue spécialisé dans l'étude des populations de chasseurs-cueilleurs, présentait une thèse de doctorat portant sur la fraction des "Pygmées" Twa du Rwanda qui s'adonne à la poterie. Il s'appuyait à cet effet principalement sur les écrits produits à leur sujet par les missionnaires et les agents de la colonisation, allemands, puis belges.
Comme la plus grande partie de cette littérature est en langue allemande, elle n'est que difficilement accessible aux Rwandais eux-mêmes, ce qui justifie la traduction du présent ouvrage de synthèse, unique en son genre. Du fait que l'ethnologie des débuts du XXe siècle était dominée par la problématique des races, les premiers observateurs de la réalité socio-culturelle rwandaise ont porté un intérêt tout particulier au groupe pygmoïde twa relativement marginal et à ses caractéristiques anthropologiques, un intérêt que l'on ne retrouvera plus guère par la suite.
Stefan Seitz examine successivement les problèmes que soulèvent le nom, la langue, l'origine et la nature de cette population, son économie centrée sur la céramique, mais aussi la musique et la danse, sa situation sociale ambiguë vis-à-vis des deux autres groupes "ethniques" (Tutsi et Hutu), et le rôle important que historiquement elle a joué dans la vie et l'organisation de l'ancien royaume du Rwanda.
En 1970, le professeur Stefan Seitz, de l'Université de Fribourg-en-Brisgau, ethnologue spécialisé dans l'étude des populations de chasseurs-cueilleurs, présentait une thèse de doctorat portant sur la fraction des "Pygmées" Twa du Rwanda qui s'adonne à la poterie. Il s'appuyait à cet effet principalement sur les écrits produits à leur sujet par les missionnaires et les agents de la colonisation, allemands, puis belges.
Comme la plus grande partie de cette littérature est en langue allemande, elle n'est que difficilement accessible aux Rwandais eux-mêmes, ce qui justifie la traduction du présent ouvrage de synthèse, unique en son genre. Du fait que l'ethnologie des débuts du XXe siècle était dominée par la problématique des races, les premiers observateurs de la réalité socio-culturelle rwandaise ont porté un intérêt tout particulier au groupe pygmoïde twa relativement marginal et à ses caractéristiques anthropologiques, un intérêt que l'on ne retrouvera plus guère par la suite.
Stefan Seitz examine successivement les problèmes que soulèvent le nom, la langue, l'origine et la nature de cette population, son économie centrée sur la céramique, mais aussi la musique et la danse, sa situation sociale ambiguë vis-à-vis des deux autres groupes "ethniques" (Tutsi et Hutu), et le rôle important que historiquement elle a joué dans la vie et l'organisation de l'ancien royaume du Rwanda.