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  • Nombre de pages150
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.17 kg
  • Dimensions12,0 cm × 18,1 cm × 1,3 cm
  • ISBN978-2-487304-01-7
  • EAN9782487304017
  • Date de parution16/02/2024
  • ÉditeurSerge Safran Editeur

Résumé

Aÿmati est une jeune femme qui vivait - il y a trente mille ans - sur le continent européen. Mära, elle, naît en 2026 en Amérique du Nord. Elles sont les dernières représentantes de leur espèce : l'une néandertalienne, l'autre sapiens. Apparemment, aucun lien entre elles. De nos jours, Gabrielle, archéologue française, et Myn, archéologue et primatologue chinois de renommée internationale, font une découverte exceptionnelle : une statuette en ivoire qui jette un pont entre Aÿmati et Mära, deux femmes, deux artistes ! A travers différents récits qui s'entrecroisent, Béatrice Castaner aborde ici, avec une originalité de construction et une virtuosité d'écriture étonnantes, les questions essentielles de la transmission, notamment à travers l'art.
Et nous interroge sur ce qui restera sur Terre, lorsque notre espèce aura disparu.
Aÿmati est une jeune femme qui vivait - il y a trente mille ans - sur le continent européen. Mära, elle, naît en 2026 en Amérique du Nord. Elles sont les dernières représentantes de leur espèce : l'une néandertalienne, l'autre sapiens. Apparemment, aucun lien entre elles. De nos jours, Gabrielle, archéologue française, et Myn, archéologue et primatologue chinois de renommée internationale, font une découverte exceptionnelle : une statuette en ivoire qui jette un pont entre Aÿmati et Mära, deux femmes, deux artistes ! A travers différents récits qui s'entrecroisent, Béatrice Castaner aborde ici, avec une originalité de construction et une virtuosité d'écriture étonnantes, les questions essentielles de la transmission, notamment à travers l'art.
Et nous interroge sur ce qui restera sur Terre, lorsque notre espèce aura disparu.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

4/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
OLNI
Avec ce livre j’ai connu plusieurs strates de lecture. J’ai d’abord été happée par la forme. Béatrice Castaner est une virtuose de la phrase, du mot. Par moment récit, à d’autre poème, originalité de la ponctuation, de la mise en page. A chaud, cette virtuosité a étouffé les histoires. Je me suis un peu perdue dans ses figures de style. Qu’à cela ne tienne, j’ai laissé se décanter mes premières impressions et le fond à fait surface. Aÿmati et Mära vivent, à des milliers d’années de distance la même chose, comme une histoire en miroir, l’extinction de leur race. Ce sont les dernières voire ultimes représentantes des néandertaliens ou des sapiens. Les deux époques, une passée et une future s’éteignent par des écoulements « le sang quittait nos corps humains par flots jaunâtres » pour Mära. Gabrielle, archéologue, découvre par un grand hasard, une statuette, celle-là même qu’Aÿmati a sculptée juste avant de mourir devant la grotte. L’auteur raconte le voyage de cette petite statuette, de la préhistoire à un futur proche en passant par l’actuel. Aÿmati fait l’apprentissage du geste artistique sur les parois. Ce geste qui sera transmis de génération en génération, à chaque fois renouvelé, à chaque fois amélioré modifié. La joie transparait lorsqu’elle apprend à dessiner sur les parois et lorsque qu’elle transmet ce savoir. L’époque, futur proche, de Mära ne m’a pas touchée. Trop catastrophique. Je sais bien que l’homme est un loup pour l’homme et les autres espèces, mais je n’ai pu adhérer. Mära est donc l’ultime détentrice de la statuette en ivoire trouvée dans a sacoche transmise par Myn. J’ai aimé que les portraits des deux femmes se répondent, j’ai aimé ce lien entre elles avec Gabrielle et Myn pour passeurs. J’ai aimé la beauté intérieure de ces personnages. J’ai aimé la réflexion que ce petit bouquin suscite. Aÿmati est un livre sur la transmission, la pérennité de l’art, sur la disparition et la survie à travers l’art. Oui, ce livre est un OLNI où il faut se laisser aller et écouter la conteuse qu’est Béatrice Castaner. Une belle écriture, un livre à découvrir.
Avec ce livre j’ai connu plusieurs strates de lecture. J’ai d’abord été happée par la forme. Béatrice Castaner est une virtuose de la phrase, du mot. Par moment récit, à d’autre poème, originalité de la ponctuation, de la mise en page. A chaud, cette virtuosité a étouffé les histoires. Je me suis un peu perdue dans ses figures de style. Qu’à cela ne tienne, j’ai laissé se décanter mes premières impressions et le fond à fait surface. Aÿmati et Mära vivent, à des milliers d’années de distance la même chose, comme une histoire en miroir, l’extinction de leur race. Ce sont les dernières voire ultimes représentantes des néandertaliens ou des sapiens. Les deux époques, une passée et une future s’éteignent par des écoulements « le sang quittait nos corps humains par flots jaunâtres » pour Mära. Gabrielle, archéologue, découvre par un grand hasard, une statuette, celle-là même qu’Aÿmati a sculptée juste avant de mourir devant la grotte. L’auteur raconte le voyage de cette petite statuette, de la préhistoire à un futur proche en passant par l’actuel. Aÿmati fait l’apprentissage du geste artistique sur les parois. Ce geste qui sera transmis de génération en génération, à chaque fois renouvelé, à chaque fois amélioré modifié. La joie transparait lorsqu’elle apprend à dessiner sur les parois et lorsque qu’elle transmet ce savoir. L’époque, futur proche, de Mära ne m’a pas touchée. Trop catastrophique. Je sais bien que l’homme est un loup pour l’homme et les autres espèces, mais je n’ai pu adhérer. Mära est donc l’ultime détentrice de la statuette en ivoire trouvée dans a sacoche transmise par Myn. J’ai aimé que les portraits des deux femmes se répondent, j’ai aimé ce lien entre elles avec Gabrielle et Myn pour passeurs. J’ai aimé la beauté intérieure de ces personnages. J’ai aimé la réflexion que ce petit bouquin suscite. Aÿmati est un livre sur la transmission, la pérennité de l’art, sur la disparition et la survie à travers l’art. Oui, ce livre est un OLNI où il faut se laisser aller et écouter la conteuse qu’est Béatrice Castaner. Une belle écriture, un livre à découvrir.
  • Inattendu
  • art
  • transmission
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