Ayaline le Neuf, Kraspaïé. et autres villages singuliers de la plaine
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- Nombre de pages326
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.418 kg
- Dimensions14,5 cm × 21,0 cm × 2,4 cm
- ISBN978-2-84712-816-1
- EAN9782847128161
- Date de parution01/12/2024
- ÉditeurPetit Pavé (Editions Le)
Résumé
Déconcertants, les habitants de Laptev-Arou le sont presque toujours. Batailleurs, braillards, ils ne cessent de s'affronter, au mieux en palabres interminables, au pire à coups de poing ou de pelle. Ils possèdent la science du commerce des idées folles, lubie lucrative inventée par un rebouteux peu scrupuleux ; ils mènent à bien de grands projets, comme la construction du chemin de fer, mais sur des bases inattendues, tel ce tracé de voie ferrée déterminé par un simple d'esprit.
Certains bougent, s'agitent, voyagent, rencontrant des compères pour le moins effrayants qui ont tanné des peaux humaines ou participé à la traite des femmes au profit des lupanars d'Extrême-Orient. Et pourtant, ils écoutent certains jours les Hommes de Dieu qui tentent d'adoucir les moeurs, ils se plient quelquefois aussi à l'autorité civile. Et ils reviennent finalement toujours vers leur plaine natale, parce que, comme l'affirme Koujine, le chef d'Ayaline le Neuf, on appartient toujours un peu à son village, aux membres de son village.
On appartient toujours un peu à la mémoire de tous, à la mémoire collective.
Certains bougent, s'agitent, voyagent, rencontrant des compères pour le moins effrayants qui ont tanné des peaux humaines ou participé à la traite des femmes au profit des lupanars d'Extrême-Orient. Et pourtant, ils écoutent certains jours les Hommes de Dieu qui tentent d'adoucir les moeurs, ils se plient quelquefois aussi à l'autorité civile. Et ils reviennent finalement toujours vers leur plaine natale, parce que, comme l'affirme Koujine, le chef d'Ayaline le Neuf, on appartient toujours un peu à son village, aux membres de son village.
On appartient toujours un peu à la mémoire de tous, à la mémoire collective.
Déconcertants, les habitants de Laptev-Arou le sont presque toujours. Batailleurs, braillards, ils ne cessent de s'affronter, au mieux en palabres interminables, au pire à coups de poing ou de pelle. Ils possèdent la science du commerce des idées folles, lubie lucrative inventée par un rebouteux peu scrupuleux ; ils mènent à bien de grands projets, comme la construction du chemin de fer, mais sur des bases inattendues, tel ce tracé de voie ferrée déterminé par un simple d'esprit.
Certains bougent, s'agitent, voyagent, rencontrant des compères pour le moins effrayants qui ont tanné des peaux humaines ou participé à la traite des femmes au profit des lupanars d'Extrême-Orient. Et pourtant, ils écoutent certains jours les Hommes de Dieu qui tentent d'adoucir les moeurs, ils se plient quelquefois aussi à l'autorité civile. Et ils reviennent finalement toujours vers leur plaine natale, parce que, comme l'affirme Koujine, le chef d'Ayaline le Neuf, on appartient toujours un peu à son village, aux membres de son village.
On appartient toujours un peu à la mémoire de tous, à la mémoire collective.
Certains bougent, s'agitent, voyagent, rencontrant des compères pour le moins effrayants qui ont tanné des peaux humaines ou participé à la traite des femmes au profit des lupanars d'Extrême-Orient. Et pourtant, ils écoutent certains jours les Hommes de Dieu qui tentent d'adoucir les moeurs, ils se plient quelquefois aussi à l'autorité civile. Et ils reviennent finalement toujours vers leur plaine natale, parce que, comme l'affirme Koujine, le chef d'Ayaline le Neuf, on appartient toujours un peu à son village, aux membres de son village.
On appartient toujours un peu à la mémoire de tous, à la mémoire collective.