Avec Napoléon. Journal

Par : Pierre-Louis Roederer
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  • Nombre de pages384
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids0.808 kg
  • Dimensions17,4 cm × 24,8 cm × 3,8 cm
  • ISBN978-2-262-10677-5
  • EAN9782262106775
  • Date de parution13/02/2025
  • CollectionBibliothèque impériale
  • ÉditeurPerrin
  • Directeur de publicationThierry Lentz

Résumé

Pendant tout son règne, Napoléon reçut un nombre incalculable de fois dans son cabinet de travail Pierre-Louis Roederer (1754-1835), complice du coup d'Etat de Brumaire, conseiller d'Etat puis sénateur. Or, ce grand Lorrain avait pris l'habitude de noter scrupuleusement, souvent le soir même, la teneur de leurs rencontres, au ton très libre, que ce soit sur des sujets politiques ou personnels. Publiées dans les années 1850 en huit gros volumes devenus introuvables, ces notes sont le miel des historiens du Consulat et du Premier Empire.
Thierry Lento en publie les pages essentielles, qu'il introduit et commente dans ce premier opus de la "Bibliothèque impériale" qu'il dirige. On retrouve à la fois le meilleur des entretiens entre Napoléon et son conseiller, un témoignage "de l'intérieur" incomparable, des anecdotes percutantes, enfin des jugements et portraits savoureux de principaux contemporains. Au fil du texte brillent aussi quelques-unes des grandes citations si souvent reprises, telles "le pouvoir est triste comme la grandeur", "je ne me laisserai pas insulter comme un roi", "une Constitution doit être courte et obscure", "je n'ai qu'une passion, qu'une maîtresse ; c'est la France : je couche avec elle", "[Joseph est l'aîné] pour la vigne de notre père, sans doute", sans oublier la fameuse tirade : "C'est en me faisant catholique que j'ai fini la guerre de la Vendée, en me faisant musulman que je me suis établi en Egypte, en me faisant ultramontain que j'ai gagné les esprits en Italie.
Si je gouvernais un peuple de juifs, je rétablirais le temple de Salomon", prononcée au Conseil d'Etat, le 16 août 1800.
Pendant tout son règne, Napoléon reçut un nombre incalculable de fois dans son cabinet de travail Pierre-Louis Roederer (1754-1835), complice du coup d'Etat de Brumaire, conseiller d'Etat puis sénateur. Or, ce grand Lorrain avait pris l'habitude de noter scrupuleusement, souvent le soir même, la teneur de leurs rencontres, au ton très libre, que ce soit sur des sujets politiques ou personnels. Publiées dans les années 1850 en huit gros volumes devenus introuvables, ces notes sont le miel des historiens du Consulat et du Premier Empire.
Thierry Lento en publie les pages essentielles, qu'il introduit et commente dans ce premier opus de la "Bibliothèque impériale" qu'il dirige. On retrouve à la fois le meilleur des entretiens entre Napoléon et son conseiller, un témoignage "de l'intérieur" incomparable, des anecdotes percutantes, enfin des jugements et portraits savoureux de principaux contemporains. Au fil du texte brillent aussi quelques-unes des grandes citations si souvent reprises, telles "le pouvoir est triste comme la grandeur", "je ne me laisserai pas insulter comme un roi", "une Constitution doit être courte et obscure", "je n'ai qu'une passion, qu'une maîtresse ; c'est la France : je couche avec elle", "[Joseph est l'aîné] pour la vigne de notre père, sans doute", sans oublier la fameuse tirade : "C'est en me faisant catholique que j'ai fini la guerre de la Vendée, en me faisant musulman que je me suis établi en Egypte, en me faisant ultramontain que j'ai gagné les esprits en Italie.
Si je gouvernais un peuple de juifs, je rétablirais le temple de Salomon", prononcée au Conseil d'Etat, le 16 août 1800.
Avec Napoléon
Pierre-Louis Roederer
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