Nina Bouraoui… Un auteur dont plusieurs titres trainaient dans ma LAL ou dans ma PAL. Ne me demandez pas pourquoi ils sont arrivés là, je ne me souviens plus mais ils continuaient à me faire de l’oeil… Alors, quand j’ai trouvé ce livre à la médiathèque, je l’ai emprunté et l’ai commencé sans hésiter.
Je m’attendais à une histoire de femmes (la faute au titre…) et, finalement, d’après la quatrième de couverture, il s’agirait d’une histoire familiale, de découvertes amoureuses… Bon… pourquoi pas. C’était susceptible de me plaire aussi.
« Jérémie,
mon prénom est une prière qui me protège. »
Autant dire que ça commençait mal… Crotte ! (pour parler poliment) N’allez pas me dire que Avant les Hommes va aborder la religion… Surtout que lorsque l’on voit la sobriété de la couverture et de la police, on ne s’attend pas à quelque chose de très joyeux.
Cette première phrase a, tout de même, l’avantage de poser la question du narrateur (et d’y répondre).
Jérémie, donc, est probablement un ado (ou un jeune adulte). En tout cas, on imagine aisément que l’on ne fume pas de shit à 7/8 ans. On comprend aussi très rapidement (rien qu’en lisant le résumé, d’ailleurs…) qu’il est homosexuel et qu’il doit s’habituer à sa condition, seul puisqu’il n’a personne à qui en parler. Il vit en bordure de banlieue avec sa mère dnt le métier d’hêtesse de l’air et ses aventures sexuelles ne lui laissent que peu de temps pour se préoccuper des autres.
Vous l’aurez compris, ce récit parle principalement de la peur de vivre, de la solitude où l’on peut être prêt à tout pour avoir l’illusion que l’on ne s’y enfonce pas.
Le style est très descriptif et superficiel avec des phrases à rallonge dans lesquelles on se perd. La narration est, pour ainsi dire, molle et Nina Bouraoui passe vraiment du coq à l’âne. On s’endort sur les pages tellement l’action est inexistante. De plus, l’auteur semble essayer à donner un fond philosophique à son propos alors qu’elle ne pose aucune question. Autant dire que l’intérêt quant aux propos est plus que limité…
La drogue et le désir (enfin, là, ça va plus loin….) sont les thèmes de ce livre et reviennent à chaque détour de phrase. Cela devient écœurant et presque dérangeant. En plus, ces deux choses apparaissent comme banalisées et parfaitement normales.
Vous ne connaissez pas Nina Bouraoui ? Et bien, ne commencez surtout pas par ce livre là !
http://lireparelora.wordpress.com/2011/06/20/avant-les-hommes-nina-bouraoui/
Bref, passons....
Nina Bouraoui… Un auteur dont plusieurs titres trainaient dans ma LAL ou dans ma PAL. Ne me demandez pas pourquoi ils sont arrivés là, je ne me souviens plus mais ils continuaient à me faire de l’oeil… Alors, quand j’ai trouvé ce livre à la médiathèque, je l’ai emprunté et l’ai commencé sans hésiter.
Je m’attendais à une histoire de femmes (la faute au titre…) et, finalement, d’après la quatrième de couverture, il s’agirait d’une histoire familiale, de découvertes amoureuses… Bon… pourquoi pas. C’était susceptible de me plaire aussi.
« Jérémie, mon prénom est une prière qui me protège. »
Autant dire que ça commençait mal… Crotte ! (pour parler poliment) N’allez pas me dire que Avant les Hommes va aborder la religion… Surtout que lorsque l’on voit la sobriété de la couverture et de la police, on ne s’attend pas à quelque chose de très joyeux.
Cette première phrase a, tout de même, l’avantage de poser la question du narrateur (et d’y répondre).
Jérémie, donc, est probablement un ado (ou un jeune adulte). En tout cas, on imagine aisément que l’on ne fume pas de shit à 7/8 ans. On comprend aussi très rapidement (rien qu’en lisant le résumé, d’ailleurs…) qu’il est homosexuel et qu’il doit s’habituer à sa condition, seul puisqu’il n’a personne à qui en parler. Il vit en bordure de banlieue avec sa mère dnt le métier d’hêtesse de l’air et ses aventures sexuelles ne lui laissent que peu de temps pour se préoccuper des autres.
Vous l’aurez compris, ce récit parle principalement de la peur de vivre, de la solitude où l’on peut être prêt à tout pour avoir l’illusion que l’on ne s’y enfonce pas.
Le style est très descriptif et superficiel avec des phrases à rallonge dans lesquelles on se perd. La narration est, pour ainsi dire, molle et Nina Bouraoui passe vraiment du coq à l’âne. On s’endort sur les pages tellement l’action est inexistante. De plus, l’auteur semble essayer à donner un fond philosophique à son propos alors qu’elle ne pose aucune question. Autant dire que l’intérêt quant aux propos est plus que limité…
La drogue et le désir (enfin, là, ça va plus loin….) sont les thèmes de ce livre et reviennent à chaque détour de phrase. Cela devient écœurant et presque dérangeant. En plus, ces deux choses apparaissent comme banalisées et parfaitement normales.
Vous ne connaissez pas Nina Bouraoui ? Et bien, ne commencez surtout pas par ce livre là !
http://lireparelora.wordpress.com/2011/06/20/avant-les-hommes-nina-bouraoui/