Aux sources de la pensée imaginative : Fichte, Hegel, Schelling...

Par : Rudolf Steiner

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  • Nombre de pages182
  • PrésentationBroché
  • Poids0.255 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN2-910112-35-7
  • EAN9782910112356
  • Date de parution01/11/2002
  • ÉditeurNovalis Montesson
  • TraducteurGeneviève Bideau

Résumé

C'est en 1916, en pleine " Grande Guerre " mondiale, que Steiner rassembla dans cet ouvrage des conférences où il avait, dit-il, développé des vues qui, " au cours de trente-cinq années ", s'étaient formées en lui. Alors qu'au-dehors passions et armes se déchaînent, il décrit le " terrain spirituel " qui s'est créé aux XVIIIe et XIXe siècles dans lequel put commencer à prendre racine l'anthroposophie. " Pensez le mur ! ", disait Fichte à ses étudiants d'Iéna. Puis " Pensez celui qui pense le mur ! " Il cultivait ainsi cette intensification de la force créatrice du penser par laquelle pouvait naître une faculté d'imagination capable de " parvenir à des connaissances des mondes supérieurs " : un nouveau penser qui veut retrouver " la racine du vivant ". Au cours de ces deux siècles, un grand nombre de penseurs, de poètes ont ressenti en Allemagne, en Autriche, ce besoin de se relier au monde suprasensible par des formes nouvelles de penser. Certains sont connus (Fichte, Schelling, Hegel), d'autres (Hamerling, Fercher von Steinwand et bien d'autres, sans oublier Preuss, qui appela l'homme le premier-né de la Création) ignorés de la littérature. Mais par leur aspiration à l'esprit, ils ont frayé la voie à l'anthroposophie en se dégageant de la vision intellectuelle et matérialiste qui avait conduit à la situation catastrophique de la " Grande Guerre " : ainsi l'humanité avait la possibilité de franchir un pas en avant dans l'évolution de la conscience et de trouver une voie de guérison à ses maux.
C'est en 1916, en pleine " Grande Guerre " mondiale, que Steiner rassembla dans cet ouvrage des conférences où il avait, dit-il, développé des vues qui, " au cours de trente-cinq années ", s'étaient formées en lui. Alors qu'au-dehors passions et armes se déchaînent, il décrit le " terrain spirituel " qui s'est créé aux XVIIIe et XIXe siècles dans lequel put commencer à prendre racine l'anthroposophie. " Pensez le mur ! ", disait Fichte à ses étudiants d'Iéna. Puis " Pensez celui qui pense le mur ! " Il cultivait ainsi cette intensification de la force créatrice du penser par laquelle pouvait naître une faculté d'imagination capable de " parvenir à des connaissances des mondes supérieurs " : un nouveau penser qui veut retrouver " la racine du vivant ". Au cours de ces deux siècles, un grand nombre de penseurs, de poètes ont ressenti en Allemagne, en Autriche, ce besoin de se relier au monde suprasensible par des formes nouvelles de penser. Certains sont connus (Fichte, Schelling, Hegel), d'autres (Hamerling, Fercher von Steinwand et bien d'autres, sans oublier Preuss, qui appela l'homme le premier-né de la Création) ignorés de la littérature. Mais par leur aspiration à l'esprit, ils ont frayé la voie à l'anthroposophie en se dégageant de la vision intellectuelle et matérialiste qui avait conduit à la situation catastrophique de la " Grande Guerre " : ainsi l'humanité avait la possibilité de franchir un pas en avant dans l'évolution de la conscience et de trouver une voie de guérison à ses maux.
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