Aux sources de l'anthropologie positive. Auguste Comte lecteur de David Hume

Par : Fatma Moumni

Formats :

  • Paiement en ligne :
    • Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
    • Retrait Click and Collect en magasin gratuit
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages88
  • PrésentationBroché
  • Poids0.12 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,6 cm
  • ISBN978-2-343-01997-0
  • EAN9782343019970
  • Date de parution01/11/2013
  • CollectionCommentaires philosophiques
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Il est indéniable que Comte a été influencé par Hume depuis sa jeunesse, l'influence de Comte sur Hume se manifeste de façon claire dans un article de 1819 intitulé "Séparation générale entre les opinions et les désirs" qui se trouve dans les Ecrits de jeunesse (1819-1828), et nous voyons aussi que Hume ressurgit à la fin du Système de politique positive (1851-1854), texte dans lequel Auguste Comte affirme qu'il appartient à l'école de Hume.
Nous avons deux philosophies anthropologiques qui établissent les fondements d'une vie sociale et d'une théorie morale ancrées dans la nature humaine, dans les désirs et les instincts incontrôlés et qui exigent une régulation par la médiation de la sociabilité et du temps. La question des passions, des penchants et des sentiments se dégage d'une problématique classique celle qui l'intégrait au sein d'un subjectivisme rationaliste, qui soumettait le corps à l'emprise de l'âme.
Il est indéniable que Comte a été influencé par Hume depuis sa jeunesse, l'influence de Comte sur Hume se manifeste de façon claire dans un article de 1819 intitulé "Séparation générale entre les opinions et les désirs" qui se trouve dans les Ecrits de jeunesse (1819-1828), et nous voyons aussi que Hume ressurgit à la fin du Système de politique positive (1851-1854), texte dans lequel Auguste Comte affirme qu'il appartient à l'école de Hume.
Nous avons deux philosophies anthropologiques qui établissent les fondements d'une vie sociale et d'une théorie morale ancrées dans la nature humaine, dans les désirs et les instincts incontrôlés et qui exigent une régulation par la médiation de la sociabilité et du temps. La question des passions, des penchants et des sentiments se dégage d'une problématique classique celle qui l'intégrait au sein d'un subjectivisme rationaliste, qui soumettait le corps à l'emprise de l'âme.