Aux frontières de l'espèce
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- Nombre de pages122
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.19 kg
- Dimensions14,0 cm × 23,0 cm × 0,6 cm
- ISBN978-2-7116-6025-4
- EAN9782711660254
- Date de parution28/09/2023
- ÉditeurVrin
- Personne interviewéePierre-Henri Gouyon
- ContributeurFilipe Drapeau Vieira Contim
Résumé
Ce numéro affronte certaines difficultés épistémiques inhérentes à la "définition" de l'espèce qui courent et se transforment depuis l'Antiquité grecque jusqu'à aujourd'hui. Evitant les lieux communs de l'opposition entre les terminologies scientifiques et vernaculaires, il explore les "frontières de l'espèce" , ces jointures fragiles où les classifications s'articulent avec les principes dynamiques de l'histoire du vivant, ceux de la théorie de l'évolution ou des collectifs anciens ou contemporains ordonnant leur monde pour coexister avec les animaux et les plantes.
Par contraste, les contributions ici réunies montrent à quel point la non prise en compte de ces dynamiques transforme n'importe quel classement d'espèces en liste morte, fût-il celui de la biologie de la conservation. La lutte contre l'effondrement du vivant se joue sur le front de ces relations socio-écologiques qui nouent la seule trame capable de ménager des coévolutions vertueuses et de faire face au réchauffement climatique.
Par contraste, les contributions ici réunies montrent à quel point la non prise en compte de ces dynamiques transforme n'importe quel classement d'espèces en liste morte, fût-il celui de la biologie de la conservation. La lutte contre l'effondrement du vivant se joue sur le front de ces relations socio-écologiques qui nouent la seule trame capable de ménager des coévolutions vertueuses et de faire face au réchauffement climatique.
Ce numéro affronte certaines difficultés épistémiques inhérentes à la "définition" de l'espèce qui courent et se transforment depuis l'Antiquité grecque jusqu'à aujourd'hui. Evitant les lieux communs de l'opposition entre les terminologies scientifiques et vernaculaires, il explore les "frontières de l'espèce" , ces jointures fragiles où les classifications s'articulent avec les principes dynamiques de l'histoire du vivant, ceux de la théorie de l'évolution ou des collectifs anciens ou contemporains ordonnant leur monde pour coexister avec les animaux et les plantes.
Par contraste, les contributions ici réunies montrent à quel point la non prise en compte de ces dynamiques transforme n'importe quel classement d'espèces en liste morte, fût-il celui de la biologie de la conservation. La lutte contre l'effondrement du vivant se joue sur le front de ces relations socio-écologiques qui nouent la seule trame capable de ménager des coévolutions vertueuses et de faire face au réchauffement climatique.
Par contraste, les contributions ici réunies montrent à quel point la non prise en compte de ces dynamiques transforme n'importe quel classement d'espèces en liste morte, fût-il celui de la biologie de la conservation. La lutte contre l'effondrement du vivant se joue sur le front de ces relations socio-écologiques qui nouent la seule trame capable de ménager des coévolutions vertueuses et de faire face au réchauffement climatique.