Auvergne Limousin

Par : René Gibiat
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  • Nombre de pages128
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids1.165 kg
  • Dimensions24,0 cm × 32,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN2-905447-24-9
  • EAN9782905447241
  • Date de parution01/10/2006
  • ÉditeurPresses Editions Ferroviaires

Résumé

Le Limousin et l'Auvergne, le cœur vert de la France, avec ses lignes ferroviaires au tracé tortueux et difficile (dont certaines ne sont aujourd'hui plus qu'un souvenir), ses ouvrages d'art colossaux, ses montagnes si particulières, ses merveilleux paysages, ses sites préservés. Autrefois défavorisé, coupé des grandes voies de communication, le pays limousin et auvergnat constitue actuellement une terre privilégiée pour la qualité de son cadre de vie. Quoi de plus apaisant pour le regard que des gras pâturages et des denses forêts ? Les truites sauvages ont fait la réputation de leurs nombreux cours d'eau. Les champignons, cèpes, girolles et bien d'autres savent agrémenter la gastronomie locale au même titre que les tripoux, la truffade, le clafoutis et les cèpes de sarrasin, qui se marient si bien avec les rillettes. Dans ces deux régions, on mange bien et pas cher ! La ruralité est omniprésente. Exceptées les capitales régionales, Limoges et Clermont-Ferrand, les grands centres urbains sont peu nombreux. La population locale prend le temps de vivre... Le paysage, la gastronomie, le calme... Et si c'était cela la qualité de la vie ? Originaire de la Corrèze, le photographe René Gibiat nous invite à parcourir les plus pittoresques chemins de fer de sa terre natale et ceux de l'Auvergne voisine, deux régions pour lesquelles son attachement est manifeste, et ce, non seulement pour une question de proximité. Même si son rayon d'action couvre la quasi-totalité du territoire français, il nous propose un voyage à travers ses plus belles photographies de ce secteur du Massif Central, fruit d'une vingtaine d'années passées au bord des voies ferrées. A la recherche du meilleur angle, dans l'attente d'une exposition convenable ou, encore, de la plus curieuse composition d'un train, le travail du photographe est un travail de persévérance, parfois même d'obstination, mais ces images laissent principalement apparaître l'amour que l'auteur voue au chemin de fer. Cela se voit, cela se ressent. Nous pouvons le constater avec ce livre de 128 pages, illustré de 203 photographies hautes en couleurs. Un livre qui ne laissera pas indifférents les Limousins, les Auvergnats et les passionnés de la chose ferroviaire, ni ceux qui s'intéressent de près ou de loin à ces magnifiques régions.
Le Limousin et l'Auvergne, le cœur vert de la France, avec ses lignes ferroviaires au tracé tortueux et difficile (dont certaines ne sont aujourd'hui plus qu'un souvenir), ses ouvrages d'art colossaux, ses montagnes si particulières, ses merveilleux paysages, ses sites préservés. Autrefois défavorisé, coupé des grandes voies de communication, le pays limousin et auvergnat constitue actuellement une terre privilégiée pour la qualité de son cadre de vie. Quoi de plus apaisant pour le regard que des gras pâturages et des denses forêts ? Les truites sauvages ont fait la réputation de leurs nombreux cours d'eau. Les champignons, cèpes, girolles et bien d'autres savent agrémenter la gastronomie locale au même titre que les tripoux, la truffade, le clafoutis et les cèpes de sarrasin, qui se marient si bien avec les rillettes. Dans ces deux régions, on mange bien et pas cher ! La ruralité est omniprésente. Exceptées les capitales régionales, Limoges et Clermont-Ferrand, les grands centres urbains sont peu nombreux. La population locale prend le temps de vivre... Le paysage, la gastronomie, le calme... Et si c'était cela la qualité de la vie ? Originaire de la Corrèze, le photographe René Gibiat nous invite à parcourir les plus pittoresques chemins de fer de sa terre natale et ceux de l'Auvergne voisine, deux régions pour lesquelles son attachement est manifeste, et ce, non seulement pour une question de proximité. Même si son rayon d'action couvre la quasi-totalité du territoire français, il nous propose un voyage à travers ses plus belles photographies de ce secteur du Massif Central, fruit d'une vingtaine d'années passées au bord des voies ferrées. A la recherche du meilleur angle, dans l'attente d'une exposition convenable ou, encore, de la plus curieuse composition d'un train, le travail du photographe est un travail de persévérance, parfois même d'obstination, mais ces images laissent principalement apparaître l'amour que l'auteur voue au chemin de fer. Cela se voit, cela se ressent. Nous pouvons le constater avec ce livre de 128 pages, illustré de 203 photographies hautes en couleurs. Un livre qui ne laissera pas indifférents les Limousins, les Auvergnats et les passionnés de la chose ferroviaire, ni ceux qui s'intéressent de près ou de loin à ces magnifiques régions.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
5/5
Loin des TGV et autres LGV...
Tout est déjà dit dans le résumé de présentation. Monsieur Gibiat a réalisé un travail remarquable. Il a eu la chance de connaitre les lignes qu'il a photographiées, encore pleine de vie. Moi qui pratique aussi cette étrange passion qu'est la photographie ferroviaire, je suis passé, sans le savoir, aux mêmes endroits que lui quelques 10 à 20 ans après. (Je n'ai acheté ce livre qu'en janvier 2015.) Depuis le passage de Monsieur Gibiat, exit les Lapeyrouse - Volvic, les Montluçon - Eygurande-Merlines, le fameux "Triangle du Cantal", et récemment, le Clermont - Tulle (Laqueuille - Eygurande-Merlines à été fermé le 07/07/2014, condamnant à mort la dernière liaison directe de Clermont à Bordeaux.) Monsieur Gibiat a immortalisé ces lignes encore vivantes, moi, je n'ai pu faire que leur nécrologie, avant que la ronce et l'acacias ne les ensevelisse définitivement ... Etrange application du fameux "Grenelle de l'environnement" que ce transfert du rail à la route. "Toutankamion" règne en maitre incontesté sur nos départementales, et une "pseudo écologie" consiste à ériger d'hideuse moulinettes géantes dans nos paysages emblématiques du Massif-Central. Je recommande ce livre, pas seulement aux nostalgiques comme moi, car nous sommes condamnés à disparaitre, non, je le recommande à ceux qui voudraient gouter à ce plaisir, à cet art de vivre : "Prendre le temps de prendre son temps" ... Didier Chateau.
Tout est déjà dit dans le résumé de présentation. Monsieur Gibiat a réalisé un travail remarquable. Il a eu la chance de connaitre les lignes qu'il a photographiées, encore pleine de vie. Moi qui pratique aussi cette étrange passion qu'est la photographie ferroviaire, je suis passé, sans le savoir, aux mêmes endroits que lui quelques 10 à 20 ans après. (Je n'ai acheté ce livre qu'en janvier 2015.) Depuis le passage de Monsieur Gibiat, exit les Lapeyrouse - Volvic, les Montluçon - Eygurande-Merlines, le fameux "Triangle du Cantal", et récemment, le Clermont - Tulle (Laqueuille - Eygurande-Merlines à été fermé le 07/07/2014, condamnant à mort la dernière liaison directe de Clermont à Bordeaux.) Monsieur Gibiat a immortalisé ces lignes encore vivantes, moi, je n'ai pu faire que leur nécrologie, avant que la ronce et l'acacias ne les ensevelisse définitivement ... Etrange application du fameux "Grenelle de l'environnement" que ce transfert du rail à la route. "Toutankamion" règne en maitre incontesté sur nos départementales, et une "pseudo écologie" consiste à ériger d'hideuse moulinettes géantes dans nos paysages emblématiques du Massif-Central. Je recommande ce livre, pas seulement aux nostalgiques comme moi, car nous sommes condamnés à disparaitre, non, je le recommande à ceux qui voudraient gouter à ce plaisir, à cet art de vivre : "Prendre le temps de prendre son temps" ... Didier Chateau.
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