Autopsie politique du massacre de mai 1967. La Guadeloupe entre violence, terreur et résistance

Par : Julien Mérion
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  • Nombre de pages280
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN979-10-90675-71-1
  • EAN9791090675711
  • Date de parution01/11/2017
  • ÉditeurJasor

Résumé

Autopsie politique du massacre de mai 1967 jette un nouveau regard sur la tragédie orchestrée par l'Etat français à Pointe-à-Pitre les 26 et 27 mai 1967. L'ouvrage décrypte cet épisode de l'histoire contemporaine de la Guadeloupe avec les outils empruntés à l'analyse politique et à la géopolitique régionale. Il scrute les faits dans leur contexte, en examine les répercussions, met en évidence le rôle de Jacques Foccart — l'homme de confiance du général de Gaulle — et les atermoiements d'une stratégie coloniale encore engluée dans le cauchemar algérien et confrontée au processus de décolonisation au niveau planétaire.
Julien Mérion s'interroge sur la réponse brutale de l'Etat, la révolte et les peurs qui s'en suivent, ainsi que sur la lente et difficile émergence en Guadeloupe d'un idéal d'émancipation dans l'assimilation. A la lumière de témoignages de la "génération mai 67", de documents et d'écrits, l'auteur fournit les éléments propices à un débat et met ainsi en perspective les principaux symptômes du mal existentiel de la société guadeloupéenne depuis lors.
Autopsie politique du massacre de mai 1967 jette un nouveau regard sur la tragédie orchestrée par l'Etat français à Pointe-à-Pitre les 26 et 27 mai 1967. L'ouvrage décrypte cet épisode de l'histoire contemporaine de la Guadeloupe avec les outils empruntés à l'analyse politique et à la géopolitique régionale. Il scrute les faits dans leur contexte, en examine les répercussions, met en évidence le rôle de Jacques Foccart — l'homme de confiance du général de Gaulle — et les atermoiements d'une stratégie coloniale encore engluée dans le cauchemar algérien et confrontée au processus de décolonisation au niveau planétaire.
Julien Mérion s'interroge sur la réponse brutale de l'Etat, la révolte et les peurs qui s'en suivent, ainsi que sur la lente et difficile émergence en Guadeloupe d'un idéal d'émancipation dans l'assimilation. A la lumière de témoignages de la "génération mai 67", de documents et d'écrits, l'auteur fournit les éléments propices à un débat et met ainsi en perspective les principaux symptômes du mal existentiel de la société guadeloupéenne depuis lors.