Autopsie de l’heure. Ou pseudo-manuel d’horlogerie
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- Nombre de pages84
- PrésentationBroché
- Poids0.104 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,5 cm
- ISBN978-2-38541-829-8
- EAN9782385418298
- Date de parution25/01/2024
- ÉditeurIMPLIQUES
Résumé
Le temps, comment passe-t-il ? Trop vite, ou pas assez... Avec le temps qu'il fait, c'est un thème banal des conversations courantes. Pierre Goldin a essayé d'aller plus profondément dans cette perception que nous avons du temps et de tenter quelques définitions, même si son simple statut de poète-professeur de Lettres ne le destine pas à une plongée dans des notions qui touchent autant à la science qu'à la philosophie.
Donc, un peu d'abstraction dans la réflexion sur le fond, puis une ouverture grâce à une vision plus subjective tirée des heures diverses de la vie quotidienne. Cela, bien entendu, n'épuise pas le sujet. Chacun pourra commenter et grossir de sa propre expérience les hypothèses et les images nées des méditations de l'auteur.
Donc, un peu d'abstraction dans la réflexion sur le fond, puis une ouverture grâce à une vision plus subjective tirée des heures diverses de la vie quotidienne. Cela, bien entendu, n'épuise pas le sujet. Chacun pourra commenter et grossir de sa propre expérience les hypothèses et les images nées des méditations de l'auteur.
Le temps, comment passe-t-il ? Trop vite, ou pas assez... Avec le temps qu'il fait, c'est un thème banal des conversations courantes. Pierre Goldin a essayé d'aller plus profondément dans cette perception que nous avons du temps et de tenter quelques définitions, même si son simple statut de poète-professeur de Lettres ne le destine pas à une plongée dans des notions qui touchent autant à la science qu'à la philosophie.
Donc, un peu d'abstraction dans la réflexion sur le fond, puis une ouverture grâce à une vision plus subjective tirée des heures diverses de la vie quotidienne. Cela, bien entendu, n'épuise pas le sujet. Chacun pourra commenter et grossir de sa propre expérience les hypothèses et les images nées des méditations de l'auteur.
Donc, un peu d'abstraction dans la réflexion sur le fond, puis une ouverture grâce à une vision plus subjective tirée des heures diverses de la vie quotidienne. Cela, bien entendu, n'épuise pas le sujet. Chacun pourra commenter et grossir de sa propre expérience les hypothèses et les images nées des méditations de l'auteur.