Lydie Arjona, plus connue sous le nom de Lydie Salvayre est née en 1948 en France dans une famille modeste de républicains espagnols exilés. Elle découvre la langue française au fil de ses études dabord de lettres puis de médecine. Durant plusieurs années elle exerce la psychiatrie à Marseille et commence à écrire des petits textes dans des revues littéraires régionales. Cest en 1990 que parait aux éditions Julliard son premier roman «La Déclaration» suivi de «La vie commune» en 1991. Depuis une vingtaine de titres ont suivi, publiés par les éditions du Seuil ; parmi eux «La compagnie des spectres» en 1997 a été récompensé par le Prix Novembre et élu meilleur livre de lannée par léquipe éditoriale du magazine Lire. On pensera également aux «Belles âmes» (2000), au «Portrait de lécrivain en animal domestique» (2007), ou encore à «BW» (2009) et «Hymnes» en 2011. La plupart de ses textes ont été traduits dans de nombreuses langues et certains ont fait lobjet dadaptation pour le théâtre.
À paraître
Autoportrait à l'encre noire
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- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- Poids0.288 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,7 cm × 2,1 cm
- ISBN978-2-221-27905-2
- EAN9782221279052
- Date de parution04/09/2025
- CollectionPavillons
- ÉditeurRobert Laffont
Résumé
RENTREE LITTERAIRE Un autoportrait clairvoyant, où la littérature paraît comme le seul pays qui compte. Sensibilité, générosité, drôlerie nourrissent le baromètre intérieur d'une de nos plus grandes romancières contemporaines. J'écris parce que je ne sais pas parler. De cela, je suis sûre. Ou peut-être que Lydie Salvayre ne peut pas parler. Dans cet autoportrait qui joue avec le genre, elle interroge son goût de la solitude et les racines de son allergie aux codes sociaux.
Sensibilité, générosité, drôlerie nourrissent le baromètre intérieur d'une de nos plus grandes romancières. Et derrière son humour canaille, elle dessine les paysages du seul pays qui compte à ses yeux, celui de la littérature.
Sensibilité, générosité, drôlerie nourrissent le baromètre intérieur d'une de nos plus grandes romancières. Et derrière son humour canaille, elle dessine les paysages du seul pays qui compte à ses yeux, celui de la littérature.
RENTREE LITTERAIRE Un autoportrait clairvoyant, où la littérature paraît comme le seul pays qui compte. Sensibilité, générosité, drôlerie nourrissent le baromètre intérieur d'une de nos plus grandes romancières contemporaines. J'écris parce que je ne sais pas parler. De cela, je suis sûre. Ou peut-être que Lydie Salvayre ne peut pas parler. Dans cet autoportrait qui joue avec le genre, elle interroge son goût de la solitude et les racines de son allergie aux codes sociaux.
Sensibilité, générosité, drôlerie nourrissent le baromètre intérieur d'une de nos plus grandes romancières. Et derrière son humour canaille, elle dessine les paysages du seul pays qui compte à ses yeux, celui de la littérature.
Sensibilité, générosité, drôlerie nourrissent le baromètre intérieur d'une de nos plus grandes romancières. Et derrière son humour canaille, elle dessine les paysages du seul pays qui compte à ses yeux, celui de la littérature.