Près de cent ans avant "Une chambre à soi" de Virginia Woolf, Elisavet Moutzan-Martinengou, née sur l'île grecque de Zakynthos en 1801, se forge un destin bien à elle : celui d'une écrivaine déterminée à conquérir sa liberté. Ses mémoires nous livrent le portrait d'une femme exceptionnelle, parvenue à se forger un destin contre sa famille et la société dans laquelle elle vivait. Ce texte peut être considéré comme la première autobiographie écrite par une femme dans la littérature occidentale.
Près de cent ans avant "Une chambre à soi" de Virginia Woolf, Elisavet Moutzan-Martinengou, née sur l'île grecque de Zakynthos en 1801, se forge un destin bien à elle : celui d'une écrivaine déterminée à conquérir sa liberté. Ses mémoires nous livrent le portrait d'une femme exceptionnelle, parvenue à se forger un destin contre sa famille et la société dans laquelle elle vivait. Ce texte peut être considéré comme la première autobiographie écrite par une femme dans la littérature occidentale.