"Il n'existe pas une seule culture sur terre qui n'ait jamais vu une mère tuer son enfant" (p85)
"Le mal est une distorsion de l'amour" (p245)
L'éclat de la lucidité, à l'image de ces deux citations, à l'oeuvre dans cette oeuvre, aveugle, tout comme la blancheur de l'Alaska où son scénario se déroule.
Ce roman est une perle rare : la narration impeccable, les personnages tangibles, tout y est, mais il y a plus.
Les hommes et les femmes les animaux et les éléments, des dialogues vivants, on se sent viscéralement embarqué dans l'aventure, avec tout de meme un doute persistant quant
à la réponse à la question : qui chasse qui?
Rassurez-vous :" tant qu'on sent le froid, c'est qu'on n'est pas mort." (un trophée à qui retrouvera le numéro de page...)
et encore moins un(e) maitre(sse)...
"Il n'existe pas une seule culture sur terre qui n'ait jamais vu une mère tuer son enfant" (p85)
"Le mal est une distorsion de l'amour" (p245)
L'éclat de la lucidité, à l'image de ces deux citations, à l'oeuvre dans cette oeuvre, aveugle, tout comme la blancheur de l'Alaska où son scénario se déroule.
Ce roman est une perle rare : la narration impeccable, les personnages tangibles, tout y est, mais il y a plus.
Les hommes et les femmes les animaux et les éléments, des dialogues vivants, on se sent viscéralement embarqué dans l'aventure, avec tout de meme un doute persistant quant à la réponse à la question : qui chasse qui?
Rassurez-vous :" tant qu'on sent le froid, c'est qu'on n'est pas mort." (un trophée à qui retrouvera le numéro de page...)