Aucun de mes os ne sera troué pour servir de flûte enchantée
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- Nombre de pages363
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.435 kg
- Dimensions14,1 cm × 20,4 cm × 2,9 cm
- ISBN2-84335-006-9
- EAN9782843350061
- Date de parution12/08/1998
- ÉditeurVerticales (editions)
Résumé
C'est en 1976 que Jean-Marc Lovay publie son premier roman, Les régions céréalières (Gallimard). Le livre fait sensation. Les lecteurs découvrent alors une prose obsédante, incisive, onirique et violente qui n'a pas d'équivalent dans la littérature française contemporaine. Un univers d'une étrangeté radicale qu'éclaire la phrase de Thomas Bernhard placée en exergue des Régions : " Le salut se trouve là où nous n'allons pas, parce que nous ne pouvons en revenir ". Comme l'écrit Isabelle Rüf : " Avec Lovay, il faut abandonner toute idée préconçue et se laisse éblouir par les miroirs trompeurs, les ciels inversés, la phrase envoûtante, la magie du verbe et la noirceur du propos. Ce qu'il dit est simple et sombre : notre monde est fini et c'est nous qui l'avons détruit. "
C'est en 1976 que Jean-Marc Lovay publie son premier roman, Les régions céréalières (Gallimard). Le livre fait sensation. Les lecteurs découvrent alors une prose obsédante, incisive, onirique et violente qui n'a pas d'équivalent dans la littérature française contemporaine. Un univers d'une étrangeté radicale qu'éclaire la phrase de Thomas Bernhard placée en exergue des Régions : " Le salut se trouve là où nous n'allons pas, parce que nous ne pouvons en revenir ". Comme l'écrit Isabelle Rüf : " Avec Lovay, il faut abandonner toute idée préconçue et se laisse éblouir par les miroirs trompeurs, les ciels inversés, la phrase envoûtante, la magie du verbe et la noirceur du propos. Ce qu'il dit est simple et sombre : notre monde est fini et c'est nous qui l'avons détruit. "