Marchands de folie
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Aubervilliers
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- Nombre de pages344
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.212 kg
- Dimensions10,4 cm × 15,5 cm × 2,5 cm
- ISBN978-2-37941-241-7
- EAN9782379412417
- Date de parution01/03/2024
- CollectionL'arbuste véhément
- ÉditeurArbre Vengeur
- PréfacierEric Dussert
- PostfacierHenry Poulaille
Résumé
Une ville terrible et charmante, "la corbeille du Printemps et la chaudière de l'enfer". C'est ainsi qu'à l'aube du XXe siècle on parle d'Aubervilliers. D'un côté on y cultive les fleurs pour les Parisiens, d'un autre on y meurt dans les émanations d'une industrie horrible. Avec ce livre, témoignage qui prend des allures de roman et qui ouvrira la voie à toute une génération d'écrivains engagés, Léon Bonneff a composé une oeuvre pleine d'empathie, de colère et parfois d'humour.
Il y restitue la vie de ce faubourg et de ses figures fières et misérables. Ecrite à hauteur d'homme, elle nous rappelle que la littérature a su se faire l'écho puissant d'un monde où les mots ont souvent manqué.
Il y restitue la vie de ce faubourg et de ses figures fières et misérables. Ecrite à hauteur d'homme, elle nous rappelle que la littérature a su se faire l'écho puissant d'un monde où les mots ont souvent manqué.
Une ville terrible et charmante, "la corbeille du Printemps et la chaudière de l'enfer". C'est ainsi qu'à l'aube du XXe siècle on parle d'Aubervilliers. D'un côté on y cultive les fleurs pour les Parisiens, d'un autre on y meurt dans les émanations d'une industrie horrible. Avec ce livre, témoignage qui prend des allures de roman et qui ouvrira la voie à toute une génération d'écrivains engagés, Léon Bonneff a composé une oeuvre pleine d'empathie, de colère et parfois d'humour.
Il y restitue la vie de ce faubourg et de ses figures fières et misérables. Ecrite à hauteur d'homme, elle nous rappelle que la littérature a su se faire l'écho puissant d'un monde où les mots ont souvent manqué.
Il y restitue la vie de ce faubourg et de ses figures fières et misérables. Ecrite à hauteur d'homme, elle nous rappelle que la littérature a su se faire l'écho puissant d'un monde où les mots ont souvent manqué.
