En octobre 1938, un mois avant sa mort, Léon Chestov con ? e à Fondane : "je vois bien que je ne pourrai jamais écrire sur les Hindous. Eh bien, ce sera un autre, peut-être vous, qui écrirez". Deux ans plus tard, en effet, à la demande de Daumal et Masui, Fondane écrit ce bref et substantiel essai, nourri de la lecture de Schopenhauer et de la proximité de Chestov.
En octobre 1938, un mois avant sa mort, Léon Chestov con ? e à Fondane : "je vois bien que je ne pourrai jamais écrire sur les Hindous. Eh bien, ce sera un autre, peut-être vous, qui écrirez". Deux ans plus tard, en effet, à la demande de Daumal et Masui, Fondane écrit ce bref et substantiel essai, nourri de la lecture de Schopenhauer et de la proximité de Chestov.