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J'écrivais comme on respire, je vivais en poésie avec cette joie presque automatique d'écrire, j'étais offerte aux impressions comme l'arbre se laisse chanter par le vent et j'écrivais tout naturellement sans trop y faire attention, juste assez pour que ce soit joli ou bien rendu mais sans vouloir prétendre quoi que ce soit puisque ce n'était pas mon métier pour autant que l'on puisse appeler "métier" la poésie et puis il faut si peu de chose pour écrire : du papier et un stylo.