Au pied du mur. Les combats d'une jeunesse exilée
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- Nombre de pages265
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.385 kg
- Dimensions15,2 cm × 22,0 cm × 2,3 cm
- ISBN978-2-37582-277-7
- EAN9782375822777
- Date de parution24/02/2022
- CollectionVie des hommes
- ÉditeurNouvelle Cité
Résumé
Ils s'appellent Denko, Mouminy, Jonathan. Ils viennent d'Afrique noire, d'Europe de l'Est, du Maghreb. A 16 ans, parfois plus jeunes encore, ils ont fui la guerre, les menaces pesant sur leur famille, la misère. Le drame de l'exil les a endurcis, a broyé leur innocence. Au titre de la protection de l'enfance, la France reconnaît des droits à ces jeunes mineurs étrangers non accompagnés par une personne exerçant l'autorité parentale (MNA) : le droit à bénéficier d'une assistance et d'un hébergement, le droit à être scolarisé.
Mais faire appliquer ces droits est un long combat. Dans un contexte de fermeture des frontières et de relatif désengagement de l'Etat et des collectivités, les associations luttent par tous les moyens pour améliorer les conditions de vie de ces jeunes exilés, les aider à bâtir leur avenir et porter leurs voix auprès des institutions et de l'opinion publique.
Mais faire appliquer ces droits est un long combat. Dans un contexte de fermeture des frontières et de relatif désengagement de l'Etat et des collectivités, les associations luttent par tous les moyens pour améliorer les conditions de vie de ces jeunes exilés, les aider à bâtir leur avenir et porter leurs voix auprès des institutions et de l'opinion publique.
Ils s'appellent Denko, Mouminy, Jonathan. Ils viennent d'Afrique noire, d'Europe de l'Est, du Maghreb. A 16 ans, parfois plus jeunes encore, ils ont fui la guerre, les menaces pesant sur leur famille, la misère. Le drame de l'exil les a endurcis, a broyé leur innocence. Au titre de la protection de l'enfance, la France reconnaît des droits à ces jeunes mineurs étrangers non accompagnés par une personne exerçant l'autorité parentale (MNA) : le droit à bénéficier d'une assistance et d'un hébergement, le droit à être scolarisé.
Mais faire appliquer ces droits est un long combat. Dans un contexte de fermeture des frontières et de relatif désengagement de l'Etat et des collectivités, les associations luttent par tous les moyens pour améliorer les conditions de vie de ces jeunes exilés, les aider à bâtir leur avenir et porter leurs voix auprès des institutions et de l'opinion publique.
Mais faire appliquer ces droits est un long combat. Dans un contexte de fermeture des frontières et de relatif désengagement de l'Etat et des collectivités, les associations luttent par tous les moyens pour améliorer les conditions de vie de ces jeunes exilés, les aider à bâtir leur avenir et porter leurs voix auprès des institutions et de l'opinion publique.