Au nom du père pour le fils. Le testament spirituel de Judah Ibn Tibbon
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- Nombre de pages152
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.205 kg
- Dimensions13,0 cm × 19,0 cm × 1,1 cm
- ISBN978-2-915387-15-5
- EAN9782915387155
- Date de parution11/11/2021
- CollectionSpiritualité
- ÉditeurLis et Parle
- PréfacierJoseph Shatzmiller
Résumé
Ce texte important de la spiritualité hébraïque, écrit à Lunel dans la seconde moitié du XIIe siècle, par un savant rabbin de Grenade, traducteur, médecin et philosophe, fuyant en Provence les persécutions des Almohades, n'avait jamais été traduit en français. Judah Ibn Tibbon (1120-1190) y expose à l'adresse de son fils Samuel (1160-1230) des conseils bienveillants, d'impérieuses recommandations et des admonitions empreintes de sévérité à observer dans les divers aspects de la vie juive.
La copie unique de cette oeuvre, conservée à Oxford, montre que le père s'y reprend à trois fois pour consigner l'éthique, idéale à ses yeux, qu'il dispense à son fils : d'abord quand ce dernier a douze ans, puis pendant son adolescence, et enfin quand le futur et génial traducteur du Guide des Egarés de Maïmonide est marié et père de famille, toutes strates de la rédaction mêlées et enchevêtrées.
Michel Garel traduit avec brio cette oeuvre dans les trois styles littéraires de la plume de Judah, en vers, prose et prose rimée confondus. Précédée d'une introduction, sa traduction est suivie d'un commentaire qui bouleverse la perception que les historiens de la pensée juive avaient jusqu'ici de cette composition.
La copie unique de cette oeuvre, conservée à Oxford, montre que le père s'y reprend à trois fois pour consigner l'éthique, idéale à ses yeux, qu'il dispense à son fils : d'abord quand ce dernier a douze ans, puis pendant son adolescence, et enfin quand le futur et génial traducteur du Guide des Egarés de Maïmonide est marié et père de famille, toutes strates de la rédaction mêlées et enchevêtrées.
Michel Garel traduit avec brio cette oeuvre dans les trois styles littéraires de la plume de Judah, en vers, prose et prose rimée confondus. Précédée d'une introduction, sa traduction est suivie d'un commentaire qui bouleverse la perception que les historiens de la pensée juive avaient jusqu'ici de cette composition.
Ce texte important de la spiritualité hébraïque, écrit à Lunel dans la seconde moitié du XIIe siècle, par un savant rabbin de Grenade, traducteur, médecin et philosophe, fuyant en Provence les persécutions des Almohades, n'avait jamais été traduit en français. Judah Ibn Tibbon (1120-1190) y expose à l'adresse de son fils Samuel (1160-1230) des conseils bienveillants, d'impérieuses recommandations et des admonitions empreintes de sévérité à observer dans les divers aspects de la vie juive.
La copie unique de cette oeuvre, conservée à Oxford, montre que le père s'y reprend à trois fois pour consigner l'éthique, idéale à ses yeux, qu'il dispense à son fils : d'abord quand ce dernier a douze ans, puis pendant son adolescence, et enfin quand le futur et génial traducteur du Guide des Egarés de Maïmonide est marié et père de famille, toutes strates de la rédaction mêlées et enchevêtrées.
Michel Garel traduit avec brio cette oeuvre dans les trois styles littéraires de la plume de Judah, en vers, prose et prose rimée confondus. Précédée d'une introduction, sa traduction est suivie d'un commentaire qui bouleverse la perception que les historiens de la pensée juive avaient jusqu'ici de cette composition.
La copie unique de cette oeuvre, conservée à Oxford, montre que le père s'y reprend à trois fois pour consigner l'éthique, idéale à ses yeux, qu'il dispense à son fils : d'abord quand ce dernier a douze ans, puis pendant son adolescence, et enfin quand le futur et génial traducteur du Guide des Egarés de Maïmonide est marié et père de famille, toutes strates de la rédaction mêlées et enchevêtrées.
Michel Garel traduit avec brio cette oeuvre dans les trois styles littéraires de la plume de Judah, en vers, prose et prose rimée confondus. Précédée d'une introduction, sa traduction est suivie d'un commentaire qui bouleverse la perception que les historiens de la pensée juive avaient jusqu'ici de cette composition.