Mon avis :
J'ai constaté une erreur dans ce livre (page 59) : Chômette n'imagine pas un papy lisant ses lignes... Et bien, ce papy (70 ans) a lu avec plaisir ce livre qui, avec humour, traite d’un sujet grave, le chômage.
Dans la première partie, Alexandra nous raconte les anecdotes décourageantes du « chercheur d’emploi ››. Elle pourrait pleurer sur son sort, vouer aux gémonies les employés de Pôle-Emploi, mais elle préfère en rire. Sans doute pour ne pas en pleurer car l’auteur est une jeune femme sensible qui ne peut que prendre tout à cœur. Dans la seconde partie, Alexandra nous fait partager son parcours d'auto-entrepreneur avec « drôle de plume ›› dont le simple nom évoque l'état d`esprit de cette jeune femme qui n'accepte pas le fatalisme.
Un livre que tout le monde devrait lire. Les chômeurs pour retrouver un peu d'espoir. Les salariés de Pôle-Emploi pour qu’ils comprennent de désarroi de ceux qu’ils doivent aider. Les entrepreneurs pour les amener à un peu plus d°humanité. Les retraités pour qu”i1s puissent se dire «à mon époque, c'était beaucoup plus facile pour les jeunes ››.
Merci Alexandra pour nous avoir fait partager cette tranche de vie.
Mon avis :
J'ai constaté une erreur dans ce livre (page 59) : Chômette n'imagine pas un papy lisant ses lignes... Et bien, ce papy (70 ans) a lu avec plaisir ce livre qui, avec humour, traite d’un sujet grave, le chômage.
Dans la première partie, Alexandra nous raconte les anecdotes décourageantes du « chercheur d’emploi ››. Elle pourrait pleurer sur son sort, vouer aux gémonies les employés de Pôle-Emploi, mais elle préfère en rire. Sans doute pour ne pas en pleurer car l’auteur est une jeune femme sensible qui ne peut que prendre tout à cœur. Dans la seconde partie, Alexandra nous fait partager son parcours d'auto-entrepreneur avec « drôle de plume ›› dont le simple nom évoque l'état d`esprit de cette jeune femme qui n'accepte pas le fatalisme.
Un livre que tout le monde devrait lire. Les chômeurs pour retrouver un peu d'espoir. Les salariés de Pôle-Emploi pour qu’ils comprennent de désarroi de ceux qu’ils doivent aider. Les entrepreneurs pour les amener à un peu plus d°humanité. Les retraités pour qu”i1s puissent se dire «à mon époque, c'était beaucoup plus facile pour les jeunes ››.
Merci Alexandra pour nous avoir fait partager cette tranche de vie.