Atlas Des Peuples D'Asie Meridionale Et Orientale

Par : Jean Sellier

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  • Nombre de pages208
  • PrésentationBroché
  • Poids0.615 kg
  • Dimensions24,0 cm × 18,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-7071-3556-9
  • EAN9782707135568
  • Date de parution08/11/2001
  • Collectionatlas des peuples
  • ÉditeurLa Découverte

Résumé

L'Atlas des peuples d'Asie (méridionale et orientale) couvre toute la zone s'étendant de l'Inde à la Chine et au Japon, en passant par l'Asie du Sud-Est, soit plus de la moitié de l'humanité. Conçu sur le même principe que l'Atlas des peuples d'Orient, consacré à l'Asie occidentale (Moyen-Orient, Caucase, Asie centrale), il vise à éclairer l'actualité en donnant du passé un récit à la fois concis et complet dans un style très vivant, illustré de 100 cartes originales. La cohésion de l'immense nation chinoise, la tension entre l'Inde (en majorité hindoue) et le Pakistan (musulman), les forces centrifuges en Indonésie, le nationalisme vietnamien, etc. plongent leurs racines dans une histoire se comptant en siècles ou en millénaires. Histoire politique, bien sûr (de grands empires se sont faits et défaits), mais aussi histoire de diffusions linguistiques et religieuses, esquissant de grandes aires culturelles. Grâce à son système d'écriture, la culture chinoise s'est propagée en Corée, au Japon, au Vietnam. Le bouddhisme né en Inde, a gagné l'Asie du Sud-Est par la voie maritime et la Chine par la voie terrestre. Par la mer aussi, l'islam a atteint l'Indonésie (venu du Moyen-Orient via l'Inde), puis le christianisme est parvenu aux Philippines (via l'Amérique espagnole). En Asie du Sud, les Européens ont joué un rôle hégémonique au XIXe siècle et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale (Indes britanniques, Indochine française, Indes néerlandaises...), mais nulle part leur présence n'a peu remettre en cause des identités culturelles profondément ancrées, qu'elles soient javanaise, cambodgienne ou tamoule... Il en va de même, a fortiori, au Japon ou en Chine.
L'Atlas des peuples d'Asie (méridionale et orientale) couvre toute la zone s'étendant de l'Inde à la Chine et au Japon, en passant par l'Asie du Sud-Est, soit plus de la moitié de l'humanité. Conçu sur le même principe que l'Atlas des peuples d'Orient, consacré à l'Asie occidentale (Moyen-Orient, Caucase, Asie centrale), il vise à éclairer l'actualité en donnant du passé un récit à la fois concis et complet dans un style très vivant, illustré de 100 cartes originales. La cohésion de l'immense nation chinoise, la tension entre l'Inde (en majorité hindoue) et le Pakistan (musulman), les forces centrifuges en Indonésie, le nationalisme vietnamien, etc. plongent leurs racines dans une histoire se comptant en siècles ou en millénaires. Histoire politique, bien sûr (de grands empires se sont faits et défaits), mais aussi histoire de diffusions linguistiques et religieuses, esquissant de grandes aires culturelles. Grâce à son système d'écriture, la culture chinoise s'est propagée en Corée, au Japon, au Vietnam. Le bouddhisme né en Inde, a gagné l'Asie du Sud-Est par la voie maritime et la Chine par la voie terrestre. Par la mer aussi, l'islam a atteint l'Indonésie (venu du Moyen-Orient via l'Inde), puis le christianisme est parvenu aux Philippines (via l'Amérique espagnole). En Asie du Sud, les Européens ont joué un rôle hégémonique au XIXe siècle et jusqu'à la Seconde Guerre mondiale (Indes britanniques, Indochine française, Indes néerlandaises...), mais nulle part leur présence n'a peu remettre en cause des identités culturelles profondément ancrées, qu'elles soient javanaise, cambodgienne ou tamoule... Il en va de même, a fortiori, au Japon ou en Chine.