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  • Nombre de pages576
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.3 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-253-18364-8
  • EAN9782253183648
  • Date de parution22/04/2015
  • CollectionLe Livre de Poche Fantastique
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche
  • TraducteurSylvie Delloye

Résumé

1407. Venise est à son apogée. Le duc Marco est aux commandes... En théorie. Comme il est niais, son oncle et sa tante gouvernent à sa place. Ils règnent sur les mers, dictent les lois et semblent tout-puissants. En réalité, ils craignent les assassins meilleurs que les leurs. Une nuit, tout bascule. La cousine du duc, qui devait être mariée de force, est enlevée par des pirates mamelouks. La guerre est inévitable.
Au même moment, Atilo, l'assassin en chef de Marco, tranche la gorge de sa dernière victime. Il s'apprête à rebrousser chemin lorsqu'il aperçoit un garçon penché sur le mourant, en train de boire à sa plaie. La vitesse à laquelle il esquive un poignard et escalade un mur stupéfie Atilo. Le maître assassin sait qu'il doit à tout prix trouver le garçon. Non pour le tuer, mais pour en faire son apprenti...
Un roman extrêmement intrigant qui réunit le vampire d'Anne Rice et le meutrier d'Assassin's Creed !
1407. Venise est à son apogée. Le duc Marco est aux commandes... En théorie. Comme il est niais, son oncle et sa tante gouvernent à sa place. Ils règnent sur les mers, dictent les lois et semblent tout-puissants. En réalité, ils craignent les assassins meilleurs que les leurs. Une nuit, tout bascule. La cousine du duc, qui devait être mariée de force, est enlevée par des pirates mamelouks. La guerre est inévitable.
Au même moment, Atilo, l'assassin en chef de Marco, tranche la gorge de sa dernière victime. Il s'apprête à rebrousser chemin lorsqu'il aperçoit un garçon penché sur le mourant, en train de boire à sa plaie. La vitesse à laquelle il esquive un poignard et escalade un mur stupéfie Atilo. Le maître assassin sait qu'il doit à tout prix trouver le garçon. Non pour le tuer, mais pour en faire son apprenti...
Un roman extrêmement intrigant qui réunit le vampire d'Anne Rice et le meutrier d'Assassin's Creed !

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
VDecitre Bellecour
2/5
pas ma tasse de thé
J'avoue n'avoir pas pu aller au bout, ce qui n'est pas si fréquent. Pas que ce soit si mauvais en soi, mais la Bit Lit, ce n'est définitivement pas ma tasse de thé !!! Je m'ennuie, ni plus ni moins, et ne parviens pas à m'attacher aux personnages, comme une impression de rester en dehors et de perdre mon temps.
J'avoue n'avoir pas pu aller au bout, ce qui n'est pas si fréquent. Pas que ce soit si mauvais en soi, mais la Bit Lit, ce n'est définitivement pas ma tasse de thé !!! Je m'ennuie, ni plus ni moins, et ne parviens pas à m'attacher aux personnages, comme une impression de rester en dehors et de perdre mon temps.
  • intrigues
  • vampires

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
ASSASSINI TOME 1 : LAME DAMNÉE
La maison Bragelonne édite la majeure partie des ouvrages de fantasy que je lis au quotidien, c'est un fait. Et c'est sans doute la raison pour laquelle l'obtention de ce premier partenariat avec eux, par l'intermédiaire de Livraddict, revêtait une importance toute particulière pour moi. La couverture était magnifique, le résumé plus qu'alléchant, l'auteur présenté comme le digne successeur d'Anne Rice... Wouah, je m'attendais à un véritable feu d'artifice ! Quelle cruelle déception. Je vais essayer de démêler l'écheveau de ce que je ressens, une immense perplexité, pour l'essentiel. D'emblée, j'ai trouvé le style de Jon Courtenay Grimwood terriblement lourd et confus, et j'ai traîné cette impression jusqu'à la dernière page. On nous raconte une Venise a priori passionnante, pleine de mystères et de secrets, d'intrigues et d'assassins, une Venise dans laquelle, avide lecteur, on se délecte à l'avance de plonger. Mais c'est à grand renfort de noms de lieux qui n'évoquent pas grand-chose, pour ne pas dire rien, et de mots en italien qui n'évoquent guère plus. On évoque des créatures de l'ombre dont on croit reconnaître les silhouettes indistinctes dans les brumes de la cité : vampires, loups-garous, sorcières... et en réalité non, pas tout à fait, mais sans qu'on comprenne au juste ce qu'elles sont vraiment, ni même qu'on essaie de nous l'expliquer, en fait. On nous présente des personnages multiples et variés, mais la manière dont ils tombent brusquement comme un cheveu sur la soupe n'a rien de très convaincant. Au final, tout cela se mélange et s'entremêle pour tisser un récit difficilement compréhensible. J'ai envie de dire que trop de mystère tue le mystère. A force de distiller ses explications au compte-gouttes pour préserver son intrigue, une intrigue compliquée, au demeurant, dont on ne fait finalement qu'effleurer tous les tenants et les aboutissants à la fin de ce premier tome, Jon Courtenay Grimwood nous perd complètement en route. Comment se sentir un temps soit peu concerné par un personnage dont on ne sait même pas ce qu'il est exactement, et qui d'ailleurs ne le sait pas lui-même ? Les situations s'enchaînent, parfois sans lien apparent de cause à effet. Comment apprécier une intrigue à laquelle on ne comprend rien jusqu'aux toutes dernières pages ? J'ai aussi envie de dire... dommage. Parce qu'il y a de l'idée dans cette histoire, de l'originalité aussi, mais tellement mal exploitées que ça en est navrant, voire même frustrant. Parce que je suis convaincue que ce livre aurait pu être formidable si l'auteur avait fait des choix différents, en particulier celui de ne rien nous révéler de son intrigue et de son héros avant les trente dernières pages ! Je pense que je lirai la suite, sans précipitation non plus, soyons honnête, mais je l'espère sincèrement plus aboutie. Un grand merci néanmoins aux Editions Bragelonne et à Livraddict pour cette découverte pour le moins... inattendue !
La maison Bragelonne édite la majeure partie des ouvrages de fantasy que je lis au quotidien, c'est un fait. Et c'est sans doute la raison pour laquelle l'obtention de ce premier partenariat avec eux, par l'intermédiaire de Livraddict, revêtait une importance toute particulière pour moi. La couverture était magnifique, le résumé plus qu'alléchant, l'auteur présenté comme le digne successeur d'Anne Rice... Wouah, je m'attendais à un véritable feu d'artifice ! Quelle cruelle déception. Je vais essayer de démêler l'écheveau de ce que je ressens, une immense perplexité, pour l'essentiel. D'emblée, j'ai trouvé le style de Jon Courtenay Grimwood terriblement lourd et confus, et j'ai traîné cette impression jusqu'à la dernière page. On nous raconte une Venise a priori passionnante, pleine de mystères et de secrets, d'intrigues et d'assassins, une Venise dans laquelle, avide lecteur, on se délecte à l'avance de plonger. Mais c'est à grand renfort de noms de lieux qui n'évoquent pas grand-chose, pour ne pas dire rien, et de mots en italien qui n'évoquent guère plus. On évoque des créatures de l'ombre dont on croit reconnaître les silhouettes indistinctes dans les brumes de la cité : vampires, loups-garous, sorcières... et en réalité non, pas tout à fait, mais sans qu'on comprenne au juste ce qu'elles sont vraiment, ni même qu'on essaie de nous l'expliquer, en fait. On nous présente des personnages multiples et variés, mais la manière dont ils tombent brusquement comme un cheveu sur la soupe n'a rien de très convaincant. Au final, tout cela se mélange et s'entremêle pour tisser un récit difficilement compréhensible. J'ai envie de dire que trop de mystère tue le mystère. A force de distiller ses explications au compte-gouttes pour préserver son intrigue, une intrigue compliquée, au demeurant, dont on ne fait finalement qu'effleurer tous les tenants et les aboutissants à la fin de ce premier tome, Jon Courtenay Grimwood nous perd complètement en route. Comment se sentir un temps soit peu concerné par un personnage dont on ne sait même pas ce qu'il est exactement, et qui d'ailleurs ne le sait pas lui-même ? Les situations s'enchaînent, parfois sans lien apparent de cause à effet. Comment apprécier une intrigue à laquelle on ne comprend rien jusqu'aux toutes dernières pages ? J'ai aussi envie de dire... dommage. Parce qu'il y a de l'idée dans cette histoire, de l'originalité aussi, mais tellement mal exploitées que ça en est navrant, voire même frustrant. Parce que je suis convaincue que ce livre aurait pu être formidable si l'auteur avait fait des choix différents, en particulier celui de ne rien nous révéler de son intrigue et de son héros avant les trente dernières pages ! Je pense que je lirai la suite, sans précipitation non plus, soyons honnête, mais je l'espère sincèrement plus aboutie. Un grand merci néanmoins aux Editions Bragelonne et à Livraddict pour cette découverte pour le moins... inattendue !