Alpiniste professionnelle, plusieurs fois consacrée
championne du monde, Catherine Destivelle est encore à ce
jour la seule femme à avoir réussi une ascension de niveau 8
en falaise et à avoir vaincu en solitaire les Grandes Jorasses, le
Cervin et la face nord de l'Eiger. Depuis ses premiers pas sur
les rochers de Fontainebleau, Catherine Destivelle ressent
l'impérieux appel de la roche.
Adolescente, elle va même
jusqu'à esquiver la surveillance parentale pour aller grimper
bien loin de Paris, dans les Alpes du Sud. A 25 ans, elle se
lance dans la compétition et rafle vite les meilleures places,
mais elle se lasse de cet univers routinier et rêve d'escalades en
solitaire. Ici commenceront les plus belles expéditions de cette
grimpeuse insatiable. Des Alpes à l'Himalaya, en passant par
les parois américaines et les sommets de l'Antarctique où elle
frôle la mort en 1996, Catherine Destivelle vit avec bonheur
son amour de la montagne et prend aujourd'hui le temps de
partager son expérience avec nous.
"La montagne est le théâtre
exceptionnel de mon épanouissement. [...] J'ai eu la chance
d'avoir quelques dons pour [...] aller jusqu'au bout de mes
rêves. A mon tour maintenant de restituer autour de moi ce
que j'en ai reçu."
Alpiniste professionnelle, plusieurs fois consacrée
championne du monde, Catherine Destivelle est encore à ce
jour la seule femme à avoir réussi une ascension de niveau 8
en falaise et à avoir vaincu en solitaire les Grandes Jorasses, le
Cervin et la face nord de l'Eiger. Depuis ses premiers pas sur
les rochers de Fontainebleau, Catherine Destivelle ressent
l'impérieux appel de la roche.
Adolescente, elle va même
jusqu'à esquiver la surveillance parentale pour aller grimper
bien loin de Paris, dans les Alpes du Sud. A 25 ans, elle se
lance dans la compétition et rafle vite les meilleures places,
mais elle se lasse de cet univers routinier et rêve d'escalades en
solitaire. Ici commenceront les plus belles expéditions de cette
grimpeuse insatiable. Des Alpes à l'Himalaya, en passant par
les parois américaines et les sommets de l'Antarctique où elle
frôle la mort en 1996, Catherine Destivelle vit avec bonheur
son amour de la montagne et prend aujourd'hui le temps de
partager son expérience avec nous.
"La montagne est le théâtre
exceptionnel de mon épanouissement. [...] J'ai eu la chance
d'avoir quelques dons pour [...] aller jusqu'au bout de mes
rêves. A mon tour maintenant de restituer autour de moi ce
que j'en ai reçu."