Ascension d'un fragment nu en chute. Morsure des mots
Par :Formats :
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages93
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.13 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,0 cm
- ISBN2-7384-1510-5
- EAN9782738415103
- Date de parution01/07/1992
- CollectionPoètes des cinq continents
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierAbdellatif Laâbi
Résumé
Une fois encore le chemin d'Exil, ce lieu inhospitalier et inséparable de la Poésie, l'écriture, tout proche de l'horizon exulté des plaies. Transpersion cruelle de l'amandier et le rêve enténébré de deuil : la saison bleue de l'âme. Cette source de confusion : confesse- toi Ô mort ! Comment être poète sans les minerais d'une douleur sans visage et "un malheur sans nom, sans mesure" Oui l'hiver n'est qu'un matin et une nuit, l'autre nuit de l'interminable : cet incessant jeu de presque perte à la pure perte.
J'ai tissé la brisure Une nuit ou une dépouille, cheminée par un silence survenu, avant nous Nos mains reculent avant l'agonie avant d'exiler l'âme dans les charbons d'éternité C'est peut-être l'espace de ces nuits altérées, ajournées. Oui, cet obscur confins du désir jusqu'à la naissance de ce Toujours : Douloureusement est ta naissance la nuit de ma mort ou de cette folie qui jette la nuit sur l'autre nuit braises froides de la main...
J'ai tissé la brisure Une nuit ou une dépouille, cheminée par un silence survenu, avant nous Nos mains reculent avant l'agonie avant d'exiler l'âme dans les charbons d'éternité C'est peut-être l'espace de ces nuits altérées, ajournées. Oui, cet obscur confins du désir jusqu'à la naissance de ce Toujours : Douloureusement est ta naissance la nuit de ma mort ou de cette folie qui jette la nuit sur l'autre nuit braises froides de la main...
Une fois encore le chemin d'Exil, ce lieu inhospitalier et inséparable de la Poésie, l'écriture, tout proche de l'horizon exulté des plaies. Transpersion cruelle de l'amandier et le rêve enténébré de deuil : la saison bleue de l'âme. Cette source de confusion : confesse- toi Ô mort ! Comment être poète sans les minerais d'une douleur sans visage et "un malheur sans nom, sans mesure" Oui l'hiver n'est qu'un matin et une nuit, l'autre nuit de l'interminable : cet incessant jeu de presque perte à la pure perte.
J'ai tissé la brisure Une nuit ou une dépouille, cheminée par un silence survenu, avant nous Nos mains reculent avant l'agonie avant d'exiler l'âme dans les charbons d'éternité C'est peut-être l'espace de ces nuits altérées, ajournées. Oui, cet obscur confins du désir jusqu'à la naissance de ce Toujours : Douloureusement est ta naissance la nuit de ma mort ou de cette folie qui jette la nuit sur l'autre nuit braises froides de la main...
J'ai tissé la brisure Une nuit ou une dépouille, cheminée par un silence survenu, avant nous Nos mains reculent avant l'agonie avant d'exiler l'âme dans les charbons d'éternité C'est peut-être l'espace de ces nuits altérées, ajournées. Oui, cet obscur confins du désir jusqu'à la naissance de ce Toujours : Douloureusement est ta naissance la nuit de ma mort ou de cette folie qui jette la nuit sur l'autre nuit braises froides de la main...