Art et société à Tours au début de la Renaissance. Actes du colloque "Tours 1500, art et société à Tours au début de la Renaissance" du 10 au 12 mai 2012

Par : Marion Boudon-Machuel, Pascale Charron
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  • Nombre de pages254
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids1.015 kg
  • Dimensions21,0 cm × 27,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-503-56930-7
  • EAN9782503569307
  • Date de parution01/01/2016
  • CollectionEtudes renaissantes
  • ÉditeurBrepols

Résumé

Qualifiée d'" ombilic du royaume " par l'humaniste florentin Francesco Florio, Tours est à partir de la décennie 1440 le lieu de séjour favori des rois de France et de la cour et, dès lors, l'une des villes les plus importantes du domaine royal. Dès la seconde moitié du siècle, elle s'impose comme l'un des grands foyers artistiques reconnue comme capitale du luxe autour des années 1500. C'est ce foyer que le colloque organisé en mai 2012 au Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance, et dont les actes sont publiés ici, a choisi d'étudier.
Le regard des chercheurs s'est porté sur la cité elle-même à la fois comme lieu de naissance des oeuvres et comme plaque tournante de la création artistique largement ouverte vers d'autres villes. Territoire investi par les commanditaires et les artistes tourangeaux ou étrangers, il fut un lieu d'échanges privilégiés entre ces différentes catégories d'acteurs pour une production touchant aux arts monumentaux (architecture, sculpture), aux arts précieux (broderie, orfèvrerie), aux arts de la couleur (enluminure, peinture) ou aux arts de la guerre.
Qualifiée d'" ombilic du royaume " par l'humaniste florentin Francesco Florio, Tours est à partir de la décennie 1440 le lieu de séjour favori des rois de France et de la cour et, dès lors, l'une des villes les plus importantes du domaine royal. Dès la seconde moitié du siècle, elle s'impose comme l'un des grands foyers artistiques reconnue comme capitale du luxe autour des années 1500. C'est ce foyer que le colloque organisé en mai 2012 au Centre d'Etudes Supérieures de la Renaissance, et dont les actes sont publiés ici, a choisi d'étudier.
Le regard des chercheurs s'est porté sur la cité elle-même à la fois comme lieu de naissance des oeuvres et comme plaque tournante de la création artistique largement ouverte vers d'autres villes. Territoire investi par les commanditaires et les artistes tourangeaux ou étrangers, il fut un lieu d'échanges privilégiés entre ces différentes catégories d'acteurs pour une production touchant aux arts monumentaux (architecture, sculpture), aux arts précieux (broderie, orfèvrerie), aux arts de la couleur (enluminure, peinture) ou aux arts de la guerre.