Art et langage : les frontispices allégoriques de la science à l'âge classique
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- Nombre de pages224
- PrésentationBroché
- Poids0.315 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,5 cm
- ISBN978-2-296-56688-0
- EAN9782296566880
- Date de parution01/12/2011
- CollectionMémoires d'excellence
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Plonger dans le monde symbolique de l'art, que l'allégorie
émaille depuis des siècles, c'est entrevoir une infinie série de
signes, de codes, auxquels les artistes ont eu recours mais dont
les clefs de lecture nous échappent parfois. Le mystère a
procuré, de tout temps, un pouvoir de l'auteur sur le lecteur.
Or, l'esprit et la curiosité de ce dernier sont à juste titre
interpellés par les figures allégoriques qui peuplent les
frontispices des livres de science, objets de cette étude.
Selon des degrés divers, ces images véhiculent un discours destiné à frapper les esprits. Elles nourrissent, au temps de Galilée, les querelles surgies des découvertes scientifiques ayant favorisé le divorce entre un monde ancien et un monde nouveau. La représentation allégorique prend alors tout son sens : l'usage de codes permet aux auteurs d'exposer, implicitement, leurs prises de position.
Quels sont donc les enjeux de la gravure inaugurant l'ouvrage, d'autant que sa rareté présage du soin qui lui est accordé ? D'autres frontispices de cette étude ne reposent pas sur des polémiques, mais l'allégorie est toujours leur substance, permettant d'entrevoir le dessein de leurs inventeurs, soit l'envers et l'endroit du décor. Trame d'un "hors-texte", l'image liminaire suscite alors l'allégorie des protagonistes façonnant le livre : l'auteur, le dédicataire, la science, le lecteur.
En dessinant l'horizon du livre, le frontispice n'est plus un simple seuil du texte mais semble inviter le lecteur à penser au-delà.
Selon des degrés divers, ces images véhiculent un discours destiné à frapper les esprits. Elles nourrissent, au temps de Galilée, les querelles surgies des découvertes scientifiques ayant favorisé le divorce entre un monde ancien et un monde nouveau. La représentation allégorique prend alors tout son sens : l'usage de codes permet aux auteurs d'exposer, implicitement, leurs prises de position.
Quels sont donc les enjeux de la gravure inaugurant l'ouvrage, d'autant que sa rareté présage du soin qui lui est accordé ? D'autres frontispices de cette étude ne reposent pas sur des polémiques, mais l'allégorie est toujours leur substance, permettant d'entrevoir le dessein de leurs inventeurs, soit l'envers et l'endroit du décor. Trame d'un "hors-texte", l'image liminaire suscite alors l'allégorie des protagonistes façonnant le livre : l'auteur, le dédicataire, la science, le lecteur.
En dessinant l'horizon du livre, le frontispice n'est plus un simple seuil du texte mais semble inviter le lecteur à penser au-delà.
Plonger dans le monde symbolique de l'art, que l'allégorie
émaille depuis des siècles, c'est entrevoir une infinie série de
signes, de codes, auxquels les artistes ont eu recours mais dont
les clefs de lecture nous échappent parfois. Le mystère a
procuré, de tout temps, un pouvoir de l'auteur sur le lecteur.
Or, l'esprit et la curiosité de ce dernier sont à juste titre
interpellés par les figures allégoriques qui peuplent les
frontispices des livres de science, objets de cette étude.
Selon des degrés divers, ces images véhiculent un discours destiné à frapper les esprits. Elles nourrissent, au temps de Galilée, les querelles surgies des découvertes scientifiques ayant favorisé le divorce entre un monde ancien et un monde nouveau. La représentation allégorique prend alors tout son sens : l'usage de codes permet aux auteurs d'exposer, implicitement, leurs prises de position.
Quels sont donc les enjeux de la gravure inaugurant l'ouvrage, d'autant que sa rareté présage du soin qui lui est accordé ? D'autres frontispices de cette étude ne reposent pas sur des polémiques, mais l'allégorie est toujours leur substance, permettant d'entrevoir le dessein de leurs inventeurs, soit l'envers et l'endroit du décor. Trame d'un "hors-texte", l'image liminaire suscite alors l'allégorie des protagonistes façonnant le livre : l'auteur, le dédicataire, la science, le lecteur.
En dessinant l'horizon du livre, le frontispice n'est plus un simple seuil du texte mais semble inviter le lecteur à penser au-delà.
Selon des degrés divers, ces images véhiculent un discours destiné à frapper les esprits. Elles nourrissent, au temps de Galilée, les querelles surgies des découvertes scientifiques ayant favorisé le divorce entre un monde ancien et un monde nouveau. La représentation allégorique prend alors tout son sens : l'usage de codes permet aux auteurs d'exposer, implicitement, leurs prises de position.
Quels sont donc les enjeux de la gravure inaugurant l'ouvrage, d'autant que sa rareté présage du soin qui lui est accordé ? D'autres frontispices de cette étude ne reposent pas sur des polémiques, mais l'allégorie est toujours leur substance, permettant d'entrevoir le dessein de leurs inventeurs, soit l'envers et l'endroit du décor. Trame d'un "hors-texte", l'image liminaire suscite alors l'allégorie des protagonistes façonnant le livre : l'auteur, le dédicataire, la science, le lecteur.
En dessinant l'horizon du livre, le frontispice n'est plus un simple seuil du texte mais semble inviter le lecteur à penser au-delà.