Arrête de te gratter !. Comprendre la dermatillomanie pour mieux la soigner

Par : Alexandra Lecart

Formats :

Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages196
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.255 kg
  • Dimensions14,0 cm × 21,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-38313-093-2
  • EAN9782383130932
  • Date de parution10/05/2023
  • ÉditeurEnrick B. (Editions)
  • PréfacierAntoine Pelissolo

Résumé

Tout le monde se gratte, se perce les boutons, les points noirs, les points blancs... Se triturer la peau permet de la nettoyer ; mais qu'en est-il lorsqu'on ne peut pas s'en empêcher ? Qu'en est-il lorsque les imperfections de la peau deviennent une obsession, et que, une fois le rituel de triturage commencé, il devient impossible de s'arrêter, comme pris dans une transe durant laquelle le temps est suspendu ? Les crises de dermatillomanie peuvent durer des heures, créant des lésions cutanées importantes et parfois irréversibles, influant sur la vie sociale des personnes qui en sont victimes.
Les comportements répétitifs centrés sur le corps (CRCC) peuvent devenir addictifs lorsqu'ils jouent un rôle de régulateur émotionnel dans la réduction d'un état de stress ou de tension nerveuse... jusqu'à la crise suivante. Longtemps absente des classifications diagnostiques psychologiques et psychiatriques, la dermatillomanie est finalement reconnue depuis quelques années comme un trouble à part entière.
Sa connaissance reste malgré tout peu répandue chez les patients comme chez les professionnels de santé. Isolés, dans l'incompréhension et la honte, les patients, avant d'être diagnostiqués, ont généralement tout essayé pour arrêter ces gestes qui les apaisent mais les détruisent à la fois. Comprendre le fonctionnement de ce trouble, lui donner un nom pour pouvoir en parler à son entourage et aux professionnels de santé est déjà une première étape vers le soin.
Aussi cet ouvrage s'adresse-t-il à toute personne qui souhaite mieux comprendre la dermatillomanie dans son aspect psychosomatique, comportemental et analytique.
Tout le monde se gratte, se perce les boutons, les points noirs, les points blancs... Se triturer la peau permet de la nettoyer ; mais qu'en est-il lorsqu'on ne peut pas s'en empêcher ? Qu'en est-il lorsque les imperfections de la peau deviennent une obsession, et que, une fois le rituel de triturage commencé, il devient impossible de s'arrêter, comme pris dans une transe durant laquelle le temps est suspendu ? Les crises de dermatillomanie peuvent durer des heures, créant des lésions cutanées importantes et parfois irréversibles, influant sur la vie sociale des personnes qui en sont victimes.
Les comportements répétitifs centrés sur le corps (CRCC) peuvent devenir addictifs lorsqu'ils jouent un rôle de régulateur émotionnel dans la réduction d'un état de stress ou de tension nerveuse... jusqu'à la crise suivante. Longtemps absente des classifications diagnostiques psychologiques et psychiatriques, la dermatillomanie est finalement reconnue depuis quelques années comme un trouble à part entière.
Sa connaissance reste malgré tout peu répandue chez les patients comme chez les professionnels de santé. Isolés, dans l'incompréhension et la honte, les patients, avant d'être diagnostiqués, ont généralement tout essayé pour arrêter ces gestes qui les apaisent mais les détruisent à la fois. Comprendre le fonctionnement de ce trouble, lui donner un nom pour pouvoir en parler à son entourage et aux professionnels de santé est déjà une première étape vers le soin.
Aussi cet ouvrage s'adresse-t-il à toute personne qui souhaite mieux comprendre la dermatillomanie dans son aspect psychosomatique, comportemental et analytique.