Armand Carrel (1800-1836). Un républicain réaliste

Par : Gilles Crochemore

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  • Nombre de pages254
  • PrésentationBroché
  • Poids0.45 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-7535-0292-7
  • EAN9782753502925
  • Date de parution15/09/2006
  • CollectionCarnot
  • ÉditeurPU Rennes

Résumé

Armand Carrel, né à Rouen en 1800, est célèbre comme fondateur du National à l'origine de la chute en 1830 de Charles X et de la mise en place de la Seconde République en 1848. Celui qui tomba sous la balle d'Émile de Girardin le 24 juillet 1836 a toujours mené une existence romanesque. Comploteur sous la Restauration, luttant contre son propre pays en Espagne, condamné à mort puis acquitté, enlevant une femme mariée avec laquelle il s'installe à Paris, Carrel est un personnage complexe, difficile à cerner.
Son itinéraire idéologique le mène ainsi du bonapartisme à la République sous la Monarchie de juillet. Or, l'acceptation d'une République patriote, démocratique et sociale mais dégagée de l'héritage de la Terreur se concrétise grâce à sa formation libérale. Réconciliant l'héritage révolutionnaire et libéral, Armand Carrel préfigure le ralliement de son irréductible ennemi, Adolphe Thiers, lui-même transfuge du libéralisme le plus intransigeant.
Armand Carrel, né à Rouen en 1800, est célèbre comme fondateur du National à l'origine de la chute en 1830 de Charles X et de la mise en place de la Seconde République en 1848. Celui qui tomba sous la balle d'Émile de Girardin le 24 juillet 1836 a toujours mené une existence romanesque. Comploteur sous la Restauration, luttant contre son propre pays en Espagne, condamné à mort puis acquitté, enlevant une femme mariée avec laquelle il s'installe à Paris, Carrel est un personnage complexe, difficile à cerner.
Son itinéraire idéologique le mène ainsi du bonapartisme à la République sous la Monarchie de juillet. Or, l'acceptation d'une République patriote, démocratique et sociale mais dégagée de l'héritage de la Terreur se concrétise grâce à sa formation libérale. Réconciliant l'héritage révolutionnaire et libéral, Armand Carrel préfigure le ralliement de son irréductible ennemi, Adolphe Thiers, lui-même transfuge du libéralisme le plus intransigeant.