Arirang ou Tout citoyen incarne la patrie 5

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  • Nombre de pages343
  • PrésentationBroché
  • Poids0.642 kg
  • Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
  • ISBN2-7475-1622-9
  • EAN9782747516228
  • Date de parution01/11/2003
  • CollectionLettres coréennes
  • ÉditeurL'Harmattan

Résumé

Comment, ayant perdu leurs terres, leur patrie, leur raison d'être, les Coréens vont-ils trouver un point d'ancrage à leur lutte ? Le bonze Kong-ho, dont la vie est d'être un médiateur déterminé et sensible, propose la clef qui va unir les Coréens encore sur place et ceux réfugiés en Mandchourie : "nous formons un même corps, et ce corps c'est notre patrie." Cet "être nouveau" mobilise aussi bien les nobles nostalgiques que les militaires impatients, les paysans au courage têtu et les jeunes qui découvrent les potentialités des démocraties pour préparer une nouvelle ère où "ce n'est plus le roi qui incarne la patrie, mais tout citoyen." La plupart focalisent un sentiment religieux au fort potentiel de ralliement : le culte à Tangun, le fondateur de la Corée.
Se crée enfin, dans des conditions à la fois souvent héroïques et ambiguës, une Assemblée des Associations rie Coréens de la diaspora. Des armées se forment, des tracts et des livres d'histoire circulent. Bonzes, nobles, paysans luttent de conserve pour ne laisser aux Japonais que l'écorce de la Corée, mais en sauver le coeur qui est en chacun d'entre eux. Ceux-ci sont obligés de reconnaître que ce " peuple du riz " est inassimilable, tenace et courageux.
Ils tentent même de jouer à leur profit la carte du ciel dont les veines d'énergie cosmiques traversent le Palais royal pour animer Séoul, et construisent là le siège de leur Gouvernement général.
Comment, ayant perdu leurs terres, leur patrie, leur raison d'être, les Coréens vont-ils trouver un point d'ancrage à leur lutte ? Le bonze Kong-ho, dont la vie est d'être un médiateur déterminé et sensible, propose la clef qui va unir les Coréens encore sur place et ceux réfugiés en Mandchourie : "nous formons un même corps, et ce corps c'est notre patrie." Cet "être nouveau" mobilise aussi bien les nobles nostalgiques que les militaires impatients, les paysans au courage têtu et les jeunes qui découvrent les potentialités des démocraties pour préparer une nouvelle ère où "ce n'est plus le roi qui incarne la patrie, mais tout citoyen." La plupart focalisent un sentiment religieux au fort potentiel de ralliement : le culte à Tangun, le fondateur de la Corée.
Se crée enfin, dans des conditions à la fois souvent héroïques et ambiguës, une Assemblée des Associations rie Coréens de la diaspora. Des armées se forment, des tracts et des livres d'histoire circulent. Bonzes, nobles, paysans luttent de conserve pour ne laisser aux Japonais que l'écorce de la Corée, mais en sauver le coeur qui est en chacun d'entre eux. Ceux-ci sont obligés de reconnaître que ce " peuple du riz " est inassimilable, tenace et courageux.
Ils tentent même de jouer à leur profit la carte du ciel dont les veines d'énergie cosmiques traversent le Palais royal pour animer Séoul, et construisent là le siège de leur Gouvernement général.
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