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  • Nombre de pages516
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.53 kg
  • Dimensions14,2 cm × 21,5 cm × 4,0 cm
  • ISBN978-2-234-08888-7
  • EAN9782234088887
  • Date de parution19/08/2020
  • CollectionLa Cosmopolite
  • ÉditeurStock
  • TraducteurMarc Amfreville

Résumé

Téhéran, 1953. Par une nuit enneigée, Behrouz, humble chauffeur de l'armée, entend des pleurs monter d'une ruelle. Au pied d'un mûrier, il découvre une petite fille aux yeux bleus, âgée de quelques jours à peine. Il décide de la ramener chez lui, bouleversant ainsi sa vie et celle de l'enfant, qu'il prénomme Aria. De ses premiers pas dans les quartiers Sud de Téhéran aux grilles du très chic lycée Razi, trois figures maternelles façonneront l'existence de l'indomptable Aria : la cruelle Zahra — femme de Behrouz —, la riche veuve Ferdowsi et la mystérieuse Mehri.
Une saga inoubliable, portée par une héroïne dont le destin s'entremêle à celui de l'Iran pris dans la tourmente de la Révolution.
Téhéran, 1953. Par une nuit enneigée, Behrouz, humble chauffeur de l'armée, entend des pleurs monter d'une ruelle. Au pied d'un mûrier, il découvre une petite fille aux yeux bleus, âgée de quelques jours à peine. Il décide de la ramener chez lui, bouleversant ainsi sa vie et celle de l'enfant, qu'il prénomme Aria. De ses premiers pas dans les quartiers Sud de Téhéran aux grilles du très chic lycée Razi, trois figures maternelles façonneront l'existence de l'indomptable Aria : la cruelle Zahra — femme de Behrouz —, la riche veuve Ferdowsi et la mystérieuse Mehri.
Une saga inoubliable, portée par une héroïne dont le destin s'entremêle à celui de l'Iran pris dans la tourmente de la Révolution.

Avis libraires
Commentaires laissés par les libraires

1 Coup de cœur
de nos libraires
AirelleDecitre Chambéry
5/5
Superbe
Rien ne la prédestinait à vivre. Et pourtant… Le caractère bien trempé d’Aria lui permet de traverser les épreuves, et la conduit à un destin insoupçonné. Ce premier roman est une petite perle perse ! Les personnages sont attachants et justes. Avec eux, on plonge dans le cœur battant de Téhéran, on vibre avec les enfants des rues, on tremble avec la bourgeoisie, et on rêve au grand simorgh.
Rien ne la prédestinait à vivre. Et pourtant… Le caractère bien trempé d’Aria lui permet de traverser les épreuves, et la conduit à un destin insoupçonné. Ce premier roman est une petite perle perse ! Les personnages sont attachants et justes. Avec eux, on plonge dans le cœur battant de Téhéran, on vibre avec les enfants des rues, on tremble avec la bourgeoisie, et on rêve au grand simorgh.
  • Iran
  • Orpheline
  • multiculturel

Avis des lecteurs
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4.5/5
sur 2 notes dont 1 avis lecteur
Vaste fresque de l'Iran des années cinquante à quatre-vingts
Nous sommes en 1953. Behrouz, modeste chauffeur de l’armée iranienne, trouve un nourrisson abandonné dans une ruelle des quartiers populaires de Téhéran. Il prénomme l’enfant Aria et l’emmène chez lui. Maltraitée par Zahra, l’épouse de Behrouz, Aria grandit dans la pauvreté avant de s’attirer la protection d’une vieille femme riche, Fereshteh, qui lui offre aisance et éducation. Sa route croisera aussi celle de sa vraie mère, Mehdi. Mais son destin sera bouleversé par la révolution iranienne de 1979, rapidement suivie du début de la guerre avec l’Irak. Aux côtés d’Aria, ce sont trente ans de vie dans la capitale iranienne que nous offre cette vaste fresque, du règne du dernier shah jusqu’à l’instauration de la république islamique de Khomeiny. Des quartiers pauvres aux milieux aisés, dans un melting-pot de religions – musulmane, zoroastrienne, chrétienne, juive -, l’on est baigné dans l’atmosphère de la ville et des montagnes environnantes, en compagnie de personnages tous aussi intéressants et approfondis les uns que les autres. Insensiblement se mêlent à la trame du récit les mille détails qui nous permettent de vivre au plus près la montée de la contestation dans de nombreuses franges de la société iranienne et la mise en place des éléments précurseurs à la révolution. Grands sont les espoirs, vite douchés par la chape de plomb que le nouveau pouvoir met aussitôt en place sur le pays. Cette épopée qui, au travers des difficultés, des espérances et des désillusions de ses protagonistes, réussit à nous faire vivre de l’intérieur un grand pan de l’histoire récente iranienne, s’avère passionnante de bout en bout. Fictifs, les personnages témoignent néanmoins d’une réalité vécue de près par l’auteur et ses proches, puisque Nazanine Hozar et sa famille durent fuir l’Iran et la guerre en 1985. L’on ressort de cette lecture plein d’empathie pour une population dont on sait les coercitions et les exactions qu’elle a subies, en même que charmé et dépaysé par un territoire et une culture pour lesquels l’on ressent tout l’amour de l’auteur. Aria est un roman vaste et puissant, une peinture ambitieuse et réussie de l’Iran des années cinquante à quatre-vingts, et une magnifique rencontre avec l’âme, la culture et les paysages persans.
Nous sommes en 1953. Behrouz, modeste chauffeur de l’armée iranienne, trouve un nourrisson abandonné dans une ruelle des quartiers populaires de Téhéran. Il prénomme l’enfant Aria et l’emmène chez lui. Maltraitée par Zahra, l’épouse de Behrouz, Aria grandit dans la pauvreté avant de s’attirer la protection d’une vieille femme riche, Fereshteh, qui lui offre aisance et éducation. Sa route croisera aussi celle de sa vraie mère, Mehdi. Mais son destin sera bouleversé par la révolution iranienne de 1979, rapidement suivie du début de la guerre avec l’Irak. Aux côtés d’Aria, ce sont trente ans de vie dans la capitale iranienne que nous offre cette vaste fresque, du règne du dernier shah jusqu’à l’instauration de la république islamique de Khomeiny. Des quartiers pauvres aux milieux aisés, dans un melting-pot de religions – musulmane, zoroastrienne, chrétienne, juive -, l’on est baigné dans l’atmosphère de la ville et des montagnes environnantes, en compagnie de personnages tous aussi intéressants et approfondis les uns que les autres. Insensiblement se mêlent à la trame du récit les mille détails qui nous permettent de vivre au plus près la montée de la contestation dans de nombreuses franges de la société iranienne et la mise en place des éléments précurseurs à la révolution. Grands sont les espoirs, vite douchés par la chape de plomb que le nouveau pouvoir met aussitôt en place sur le pays. Cette épopée qui, au travers des difficultés, des espérances et des désillusions de ses protagonistes, réussit à nous faire vivre de l’intérieur un grand pan de l’histoire récente iranienne, s’avère passionnante de bout en bout. Fictifs, les personnages témoignent néanmoins d’une réalité vécue de près par l’auteur et ses proches, puisque Nazanine Hozar et sa famille durent fuir l’Iran et la guerre en 1985. L’on ressort de cette lecture plein d’empathie pour une population dont on sait les coercitions et les exactions qu’elle a subies, en même que charmé et dépaysé par un territoire et une culture pour lesquels l’on ressent tout l’amour de l’auteur. Aria est un roman vaste et puissant, une peinture ambitieuse et réussie de l’Iran des années cinquante à quatre-vingts, et une magnifique rencontre avec l’âme, la culture et les paysages persans.
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