Après le virage, c'est chez moi

Par : Marie Kock
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  • Nombre de pages203
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.256 kg
  • Dimensions14,0 cm × 20,7 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-348-08172-9
  • EAN9782348081729
  • Date de parution06/03/2025
  • CollectionCahiers libres
  • ÉditeurLa Découverte

Résumé

On habite quelque part parce qu'on y est né, parce qu'on y travaille, parce qu'on a suivi quelqu'un, parce qu'on a été obligé de partir, parce qu'on a été obligé de rentrer, parce qu'on a voulu y tenter sa chance. Il y a le lieu où l'on vit. Il y a les lieux que l'on a quittés. Et parfois existe aussi un endroit que l'on espère trouver, celui qui n'est pas encore chez nous. Un lieu qui répondrait à nos attentes existentielles, qui nous permettrait de trouver nos sensations d'enfance, qui correspondrait à l'idée que l'on se fait du beau, du vivable, du vrai.
Chercher son lieu, c'est espérer trouver l'environnement qui sera le bon pour nous, mais aussi espérer trouver sa place, une forme d'évidence, de stabilité, de point de chute. Un lieu d'arrivée qui rendrait toute notre vie cohérente. Dans cette quête, plus ou moins consciente, plus ou moins active, nous devons composer avec nos obligations et nos ambitions familiales, professionnelles, financières, mais aussi politiques et environnementales.
Entre désir d'ancrage, aspiration au mouvement et deuil de toutes les vies que l'on n'aura pas vécues, la poursuite du lieu rêvé n'est pas qu'une question géographique. Elle interroge notre rapport au dehors, à la propriété, au réel, à l'autre, à soi. Dans cet ouvrage, sorte de confession philosophique en forme d'itinérance intime et littéraire, Marie Kock s'interroge sur ce qui nous fait rester ou partir.
Sur ce qui nous fait reconnaître un lieu comme étant le nôtre.
On habite quelque part parce qu'on y est né, parce qu'on y travaille, parce qu'on a suivi quelqu'un, parce qu'on a été obligé de partir, parce qu'on a été obligé de rentrer, parce qu'on a voulu y tenter sa chance. Il y a le lieu où l'on vit. Il y a les lieux que l'on a quittés. Et parfois existe aussi un endroit que l'on espère trouver, celui qui n'est pas encore chez nous. Un lieu qui répondrait à nos attentes existentielles, qui nous permettrait de trouver nos sensations d'enfance, qui correspondrait à l'idée que l'on se fait du beau, du vivable, du vrai.
Chercher son lieu, c'est espérer trouver l'environnement qui sera le bon pour nous, mais aussi espérer trouver sa place, une forme d'évidence, de stabilité, de point de chute. Un lieu d'arrivée qui rendrait toute notre vie cohérente. Dans cette quête, plus ou moins consciente, plus ou moins active, nous devons composer avec nos obligations et nos ambitions familiales, professionnelles, financières, mais aussi politiques et environnementales.
Entre désir d'ancrage, aspiration au mouvement et deuil de toutes les vies que l'on n'aura pas vécues, la poursuite du lieu rêvé n'est pas qu'une question géographique. Elle interroge notre rapport au dehors, à la propriété, au réel, à l'autre, à soi. Dans cet ouvrage, sorte de confession philosophique en forme d'itinérance intime et littéraire, Marie Kock s'interroge sur ce qui nous fait rester ou partir.
Sur ce qui nous fait reconnaître un lieu comme étant le nôtre.