Apprivoiser la mort et naître au Ciel. Regard chrétiens sur l'ultime question de l'Humanité

Par : Yohan Picquart
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  • Nombre de pages170
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.188 kg
  • Dimensions14,0 cm × 19,5 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-36452-405-7
  • EAN9782364524057
  • Date de parution01/02/2019
  • ÉditeurSaint-Léger Editions

Résumé

Le mot âme se dit en grec antique psyché, ce qui signifie aussi papillon, symbole par excellence de l'immortalité. Un vieux proverbe dit que lorsque les yeux de l'ignorant voient la mort de la chenille, l'esprit du sage contemple la naissance du papillon. Epictète, l'un des plus grands représentants du stoïcisme, réduit toutes les interrogations philosophiques à une seule et même source, la crainte de la mort : " As-tu bien dans l'esprit, lui dit-il, que le principe de tous les maux pour l'homme, de la bassesse, de la lâcheté, c'est...
la crainte de la mort ? Exerce-toi contre elle ; qu'à cela tendent toutes tes paroles, toutes tes études, toutes tes lectures et tu sauras que c'est le seul moyen pour les hommes de devenir libres ". Notre rapport contemporain à la mort est une exception, un accident historique. Il semble que nous ayons besoin d'une guérison de nos intelligences tant elles sont imbibées des doctrines athées et de l'influence des médias.
A l'heure où de grands débats agitent la société : l'euthanasie, le transhumanisme, qui souhaitent donner définitivement à l'homme la toute-puissance sur la question ultime, il semble intéressant de revenir à l'Essentiel et de proposer une synthèse des sources chrétiennes sur le sujet.
Le mot âme se dit en grec antique psyché, ce qui signifie aussi papillon, symbole par excellence de l'immortalité. Un vieux proverbe dit que lorsque les yeux de l'ignorant voient la mort de la chenille, l'esprit du sage contemple la naissance du papillon. Epictète, l'un des plus grands représentants du stoïcisme, réduit toutes les interrogations philosophiques à une seule et même source, la crainte de la mort : " As-tu bien dans l'esprit, lui dit-il, que le principe de tous les maux pour l'homme, de la bassesse, de la lâcheté, c'est...
la crainte de la mort ? Exerce-toi contre elle ; qu'à cela tendent toutes tes paroles, toutes tes études, toutes tes lectures et tu sauras que c'est le seul moyen pour les hommes de devenir libres ". Notre rapport contemporain à la mort est une exception, un accident historique. Il semble que nous ayons besoin d'une guérison de nos intelligences tant elles sont imbibées des doctrines athées et de l'influence des médias.
A l'heure où de grands débats agitent la société : l'euthanasie, le transhumanisme, qui souhaitent donner définitivement à l'homme la toute-puissance sur la question ultime, il semble intéressant de revenir à l'Essentiel et de proposer une synthèse des sources chrétiennes sur le sujet.