Apocalypse, Viêtnam 1967. Le fantôme d'un regard

Par : Gilles Caron, Doan Bui
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  • Nombre de pages160
  • PrésentationRelié
  • FormatBeau Livre
  • Poids0.88 kg
  • Dimensions21,1 cm × 26,6 cm × 2,1 cm
  • ISBN979-10-95822-12-7
  • EAN9791095822127
  • Date de parution26/10/2023
  • ÉditeurPhotosynthèses (Editions)

Résumé

C'est la période de la mousson au Vietnam, elle est particulièrement éprouvante cette année 1967, Gilles Caron arrive à Saigon en novembre il restera dans le Pays deux mois, les plus importants photojournalistes de son temps sont là, eux aussi, pour " couvrir " la guerre. Les images qu'il capture sur place composent un reportage puissant, dramatique, profondément humain. Les soldats américains marchent dans la boue, attendent un ennemi qui ne se montre jamais.
La majorité des appelés viennent des classes populaires, enfants d'ouvriers blancs ou populations noires. Ils attendent, lisent le courrier derrière les sacs de sables, dans leurs abris de fortune. Les hélicoptères transportent les troupes d'un point à un autre. Soudain, c'est l'escarmouche. Brutale, inattendue et rapide. La séquence se termine par la bataille de Dak To, comme une acmé de l'absurdité de la guerre.
Les combattants s'élancent parmi ce qu'il reste de végétation défoliée, les corps se fondent dans la boue et se mêlent aux troncs des arbres abattus.
C'est la période de la mousson au Vietnam, elle est particulièrement éprouvante cette année 1967, Gilles Caron arrive à Saigon en novembre il restera dans le Pays deux mois, les plus importants photojournalistes de son temps sont là, eux aussi, pour " couvrir " la guerre. Les images qu'il capture sur place composent un reportage puissant, dramatique, profondément humain. Les soldats américains marchent dans la boue, attendent un ennemi qui ne se montre jamais.
La majorité des appelés viennent des classes populaires, enfants d'ouvriers blancs ou populations noires. Ils attendent, lisent le courrier derrière les sacs de sables, dans leurs abris de fortune. Les hélicoptères transportent les troupes d'un point à un autre. Soudain, c'est l'escarmouche. Brutale, inattendue et rapide. La séquence se termine par la bataille de Dak To, comme une acmé de l'absurdité de la guerre.
Les combattants s'élancent parmi ce qu'il reste de végétation défoliée, les corps se fondent dans la boue et se mêlent aux troncs des arbres abattus.
Mai 68
Gilles Caron, Dominique Lacout
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